jeudi 31 mars 2011

Le génie de l'Orient

Le génie de l'Orient, l’Europe moderne et les arts de l’Islam Musée des Beaux-Arts de Lyon 20 place des Terreaux F-69001 Lyon 2 avril - 4 juillet 2011 "Au cours du XIXe siècle, l’Europe découvre un nouvel univers visuel, celui des arts de l’Islam. Le marché de l’art et les collections privées contribuent à forger un nouveau regard et un nouveau savoir à travers : les voyages et les expéditions, le développement de la photographie, les publications, les expositions. À l’occasion de voyages, nombre de collectionneurs constituent des ensembles d’œuvres souvent spectaculaires qui témoignent de l’émerveillement de l’occident pour l’orient. L’exposition suggère que nous demeurons aujourd’hui les héritiers de ces nouveaux codes visuels. La découverte des arts de l’Islam donne naissance à deux révélations : - l’une, diffusée surtout par la peinture, s’inspire des décors des palais et harems pour une vision fantasmée de la fable orientaliste ; - l’autre est portée par les théoriciens de l’ornement et certains artistes d’avant-garde. Ils recherchent dans l’art de l’islam une nouvelle esthétique qui pourrait transformer les codes de représentation occidentale. Tapis et tissus, céramiques, métaux, marqueteries de bois ou encore d’ivoire introduisent un nouveau répertoire de formes, de motifs et de techniques. L’exposition illustre ces deux visions à travers différents parcours individuels ou collectifs. Pionniers, voyageurs, photographes ou collectionneurs sont fascinés par l’originalité de cette nouvelle culture visuelle alors même que l’histoire de la représentation est en crise. Le parcours s’achève avec l’évocation d’un moment d’espoir utopique : celui où des artistes, comme Henri Matisse ou Paul Klee, ont rêvé, peu avant la Première Guerre mondiale, d’une fusion entre regard « occidental » et regard « oriental »." Commissariat de l'exposition Salima Hellal, conservateur du patrimoine, chargée des collections d'objets d'art, musée des Beaux-Arts de Lyon, Rémi Labrusse, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université de Paris X Nanterre. http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/expo-lyon/genie-orient

PA/PER VIEW au Wiels


A l'occasion du week-end d'art contemporain le plus intense en Belgique, PA/PER VIEW rassemble au Wiels 33 des éditeurs les plus influents d'Europe. Laissez vos laptops à la maison et venez feuilleter les plus fins ouvrages de ces magiciens du texte et de l'image imprimée. Avec : A Prior (BE)Afterall (UK)Archive Books (IT)Argobooks (DE)Bartleby & Co (BE)Book Works (UK)Bywater Bros. Editions (CA)Culturgest (PT)Daviet-Thery (FR)Fillip (CA)Florence Loewy (FR)Gagarin (BE) Galleria Franco Noero (IT)Gevaert Editions (BE) Kodoji Press (CH)Lubok Verlag (DE)Marcus Campbell Art Books (UK)Mer-Paper Kunsthalle (BE)MFC-Michèle Didier (BE)Mousse Magazine (IT)Onestar (FR)Onomatopée (NL)Piktogram (PL)Ridinghouse (UK)Roma Publications (NL)Rosascape (FR)Spector Books (DE)The Green Box (DE)Three Stars Books (FR) Torpedo Press (NO)Witte de With Publishers (NL)Zavod P.A.R.A.S.I.T.E (SI)&... More From Motto (CH/DE) + Jeudi 22 avril 16-18h, discussion publique The Artist Book as Exhibition avec Jonathan Monk, Joost Smiers, Seth Siegelaub, Daniel McClean et Luc Derycke http://www.wiels.org/site2/event.php?event_id=178

mercredi 30 mars 2011

Géométrie de l'absence à la librairie Quartiers Latins

Géométrie de l'absence



Dans le cadre de “Drawing in an Expanded Field” 300 ans d’existence de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles-EsA et 30 ans de l’atelier de dessin

exposition des étudiants de l’option “dessin” de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles à la librairie Quartiers Latins

14 place des Martyrs

1000 Bruxelles

Exposition ouverte jusqu’au 30 avril 2011

du mardi au samedi

de 10 h à 18 h.


Marie Habert, “L’in-pace”, p. 42


Jessica Duquesne, “L’espace fermé – Un”, pp. 32-33

mardi 29 mars 2011

Leo Steinberg (1920-2011)


L’on apprend la mort de Leo Steinberg.


« […] avec l'idée du "flatbed" ('lit à plat") contenue dans l'un des articles (“The flatbed picture plane”) de ce livre fondamental : Other Criteria (1972) […] Steinberg analyse la nouvelle horizontalité comme plan pictural où des "choses", qu'il s'agisse de peinture avec Pollock mais surtout d'empreintes, d'objets... avec Rauschenberg et Dubuffet, vont constituer le tableau en un plan opaque, contraire à la simulation d'un champ de formes vertical. Steinberg retourne, en quelque sorte, le tableau en table tout en avertissant qu'il parle surtout d'“images psychiques” – mais il augure également d'un “changement radical de sujet”, une rupture avec l'art depuis la Renaissance, qui passe selon lui de la nature à la culture […] Ce qui est intéressant avec Steinberg, un critique à part, c'est précisément cette position marginale qu'il a occupée par rapport au dogme Greenbergien (qui lui valut d'être ultérieurement publié par October) mais également par rapport au formalisme de l'histoire de l'art. Il est passé du contemporain à la Renaissance (dernières œuvres de Michel Ange, Borromini, Lippi...) au “retour de Rodin” (chez Macula), repassant par ce morceau de bravoure qu'est La sexualité du Christ dans l'art de la Renaissance et son refoulement moderne (Gallimard) […] Steinberg a beaucoup écrit sur Picasso (et la sexualité), sur Jasper Johns, mais on retiendra aussi ce texte mémorable : Contemporary art in plight of its public, qui concerne le risque dans l'art contemporain et l'angoisse nécessaire qu'il provoque sur le public... »

Elisabeth Lebovici



Leo Steinberg, Other CriteriaI, University Of Chicago Press.


“Leo Steinberg’s classic Other Criteria comprises eighteen essays on topics ranging from “Contemporary Art and the Plight of Its Public” and the “flatbed picture plane” to reflections on Picasso, Rauschenberg, Rodin, de Kooning, Pollock, Guston, and Jasper Johns. The latter, which Francine du Plessix Gray called “a tour de force of critical method,” is widely regarded as the most eye-opening analysis of the Johns’s work ever written.”


Leo Steinberg, Le retour de Rodin, éditions Macula.


« Avec Steinberg, le retour que Rodin effectue dans le giron de la modernité est définitif. Oubliez les marbres, commence-t-il par dire : la plupart ne sont même pas de la main du sculpteur mais taillés par des artisans à sa solde, certains même sont posthumes. Laissez de côté la production sentimentale de Rodin entrepreneur, la partie visible et commerciale de l’iceberg, et regardez le sculpteur au travail. Fragmentation et multiplication, combinaison et inversion, distorsion et déplacement : Rodin est un structuraliste avant la lettre, décomposant et recomposant les membra disjecta du corps humain comme autant d’éléments propres au langage de la sculpture. De ce que l’on considérait jusqu’alors comme le point terminal et grandiose de l’histoire de la sculpture du dix-neuvième siècle, Steinberg fait ce qui ouvre celle de notre temps : Rodin redevient notre contemporain. »


Leo Steinberg, La Sexualité du Christ dans l'art de la Renaissance et son refoulement moderne, édition Gallimard.


« La Sexualité du Christ dans l'art de la Renaissance et son refoulement moderne fait désormais partie des grands textes de l'histoire de l'art. Leo Steinberg, à travers une écriture lumineuse d'intelligence, démontre lentement que cette "sexualisation" du Christ participe surtout d'une nouvelle réflexion sur le thème de l'incarnation. En élaborant des images impudiques (sexe proéminent, attouchement divers, gestes ambigus), les artistes s'attachent à démontrer que Dieu s'est bien fait homme. Il en a épousé à la fois toutes les contraintes mais aussi tous les attributs. Non dénué d'humour, ce livre essentiel multiplie les exemples qui nous dévoilent un versant inédit de la culture de la Renaissance. »

lundi 28 mars 2011

François Morellet

François Morellet
Galerie Aline Vidal
70 rue Bonaparte
75006 Paris
19 mars-30 avril 2011
« Dans la série des calques, le papier subit un pliage détournant ainsi la trajectoire logique d'une courbe ou d'une ligne. Une forme en gestation, en devenir, en trois dimensions se dessine d'elle-même. L'artiste utilise également des feuilles de papier quadrillé souvent destinées au travail d'architecte.
Morellet, 77137 "Pliage en diagonale d'une médiane sur un calque 1 x 2", 1977, calque et encre, 68 x 136 cm avant pliage, noir sur blanc.

La pratique du dessin convoque alors un questionnement sur le support, où s'opère un système géométrique complexe à travers l'utilisation de la trame. Cette pratique est visible dans Etude, trames superposées datant de 1959 par exemple, la trame s'élabore aussi par l'utilisation de tirets dans l'œuvre Tirets 1cm dont l'espacement augmente à chaque rangée de 1 cm de 1975.
François Morellet, Sin titulo, Edición: 90, Grabado - Aguafuerte sobre papel, Medidas: 33 x 29 cm.

François Morellet a notamment recours dans ses dessins, à diverses techniques comme en témoigne le collage intitulé Cercle fragmenté de 1977. Si le langage plastique de François Morellet est issu de formes simples et pures, il peut aussi faire appel à l'idée de fragmentation dans la série des Défigurations. Parmi ses derniers dessins, seront présentées plusieurs études préparatoires de 2009 pour la commande de l'escalier Lefuel du Louvre. » http://www.alinevidal.com/Francois-Morellet-dans-ses-petits.html

“Drawing in an Expanded Field”

Dernière semaine de l’exposition

“Drawing in an Expanded Field”

30 / 300

300 ans d’existence de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles - EsA

et 30 ans de l’atelier de dessin

à De Markten

5 Vieux Marché aux Grains,

1000 Brussels

jusqu'au 3 avril 2011.

Amélie de Beauffort, Ets. Didier Decoux


Charles de Lantsheere, Benoît Félix

Esther de Patoul

vendredi 25 mars 2011

Helena Almeida

Helena Almeida Travaux récents
Exposition du 18 mars au 7 mai 2011
Galerie Filles du Calvaire
17 rue des Filles-du-Calvaire,
75003 Paris


« Elle fête cette année le 50e anniversaire de sa première exposition collective. Et depuis un demi-siècle, avec une constance rare et qui se préoccupe peu des modes, Helena Almeida (née en 1934) mène une recherche sur la représentation dont elle est le modèle à peu près unique. Utilisant la photographie, des miroirs ou des vitres, qu’elle peut recouvrir de peinture, des draps qu’elle plisse et sur lesquels elle s’allonge, des fils dont elle se coud la bouche ou avec lesquels elle s’attache à son mari (son dernier travail), elle pose au fond la question de la communication, du dialogue, de la place de chacun de nous dans l’espace. Cette petite entreprise “familiale” (c’est son mari qui la photographie systématiquement), minimaliste, qui entretient l’idéal de la “performance”, a quelque chose d’épuré, d’essentiel, de lent, qui tranche avec la frénésie de l’art contemporain, de plus en plus tributaire des notions de marché et de productivité… »
«Depuis près de quarante ans, Helena Almeida a développé un corpus d'œuvres qui a trouvé sa source dans l'exploration des limites de la peinture, transformant des concepts et des expériences en images. Elle a associé l'image photographique au tracé du dessin et à l'empreinte de la peinture dans des compositions explorant l'espace et attirant l'attention sur la surface de l'œuvre.
Au delà des lectures poétiques et métaphoriques que ces travaux peuvent inspirer, ils sont (comme Helena en a créé beaucoup dans le passé) des tentatives d'atténuation des limites des médiums, telles celles de la photographie, la performance et la sculpture. Ces corps deviennent simultanément forme sculpturale et espace, objets et sujet, le signifiant et le signifié. Le travail d'Helena Almeida, et dans cette série en particulier, est un condensé, un acte soigneusement scénographié et hautement poétique ».
Filipa Oliveira

Pierre de Cortone et Ciro Ferri

Pierre de Cortone et Ciro Ferri
exposition aux Arts Graphiques du Louvre
du 3 mars au 6 juin 2011
Pietro da Cortona, Tête de femme, de profil vers la droite, 1652, papier beige, pierre noire, rehauts de blanc, 16 cm x 18,1 cm, Paris, musée du Louvre.

« Pietro da Cortona (1597-1669) compose avec Bernini et Borromini la triade des grands maîtres du baroque romain. Au service de trois papes successifs, Urbain VIII, Innocent X et Alexandre VII, il a profondément transformé l’art de peindre dans la Ville éternelle, enrichissant la leçon d’Annibale Carracci par ses recherches sur l’illusionnisme, l’unification de l’espace figuré et la lumière vénitienne. Nus sensuels à la sanguine, drapés irradiants à la pierre noire, recherches de composition à la plume : il a fait du dessin un instrument privilégié de son invention, laquelle s’est démultipliée grâce aux variations de Ciro Ferri, l'un de ses élèves les plus doués, et diffusée en Europe grâce aux gravures. Aussi est-il l’un des principaux acteurs de ce bouillonnement artistique de la Rome du XVIIe siècle, dont les effets se font sentir aussi bien à Florence qu’à Paris, et plus encore à Versailles. »

Ferri Ciro (1634-1689), Distributions des cierges bénits ou Procession des saints Clous, encre brune, lavis gris, pierre noire, plume (dessin), rehauts de blanc, 28,4 cm x 22,9 cm, Paris, musée du Louvre.

« Ce que les dessins des maîtres disent, caché dans leur peinture.
Dans une préface aussi savante qu’éclairante, Bénédicte Gady nous rappelle que Cortone, en principe formé par Andrea Commodi et Baccio Ciarpi, avait en fait un maître choisi, appartenant à une génération qui l’avait précédé : Lodovico Cigoli (1559-1613). [Cigoli et Cortone ont] atténué le pouvoir de suggestion charnelle exprimé à l’état pur par leurs dessins. Le dessin, chez Cigoli et Cortone, fait apparaître une sensualité qui n’est plus perceptible avec la même intensité dans leur peinture. […] Cortone démontre encore qu’il est un dessinateur de génie […] Comme pour la sensualité dans le torse de sainte Bibiane, cette maîtrise sera largement effacée dans la peinture. Voilà pourquoi les dessins des maîtres en général, et ceux de Pierre de Cortone en particulier, ont souvent des choses à nous dire, que leur peinture est obligée de nous cacher. »
Jean-Luc Chalumeau

jeudi 24 mars 2011

DRAWING NOW

DRAWING NOW PARIS LE SALON DU DESSIN CONTEMPORAIN 5e édition au Carrousel du Louvre du 25 au 28 mars 2011 est la première foire européenne d'art contemporain exclusivement dédiée au dessin contemporain. Pour sa 5e édition, le salon rassemble 83 galeries européennes. http://www.drawingnowparis.com/ Le Salon du dessin PARIS Le Salon du dessin se tient à la Bourse du 30 mars au 4 avril 2011. 39 exposants http://www.salondudessin.com/ CHIC Dessin 2011 du 01 avril au 03 avril 2011 Atelier Richelieu 60, rue de Richelieu, 75002 Paris http://www.chic-today.com/

L' "œuvre au noir" de Parmesan

L' "œuvre au noir" de Parmesan : dessins et gravures en clair-obscur

du 21 février au 8 mai 2011
Ecole nationale supérieure des beaux-arts
14 rue Bonaparte,
75006 Paris

Le Parmesan (1503-1540), Saint Christophe, plume, encre noire, lavis d'encre de Chine sur papier préparé rose, 20,7 x 14,7 cm

“Après l’exposition consacrée aux dessins maniéristes florentins en 2009, le cabinet de dessins de l’Ecole des beaux-arts présente en février 2011 un ensemble d’une trentaine d’œuvres de la Renaissance issues de l’école émilienne, dominée par Parmesan. Sont réunis une vingtaine de dessins et de chiaroscuri de l’École des beaux-arts, complétés par une dizaine de feuilles de la collection particulière genevoise du mécène Jean Bonna, qui finança en 2005 l’aménagement du cabinet de dessins.
À travers cette trentaine d’œuvres caractéristiques du Premier maniérisme italien sont évoquées les différentes époques de la fulgurante carrière de Girolamo Francesco Maria Mazzola, dit Le Parmesan, depuis sa jeunesse à Parme (1503-1524), suivie des séjours romain (1524-1527) et bolonais (1527-1530), jusqu’à la dernière période et le retour à Parme (1530-1540), brillamment illustrée par une étude préparatoire pour l’un de ses chefs-d’œuvre peints : La Madone au long cou, aujourd’hui conservée à la Galerie des Offices de Florence.
Cette exposition est l’occasion de découvrir les influences subies par l’artiste, fervent copiste de Corrège, mais aussi de Michel-Ange et plus encore de Raphaël et de préciser le rôle du dessin dans l’œuvre de l’artiste : préparatoire aux décors de fresques (Fontanellato), aux tableaux d’autel, à la gravure ou œuvre « de présentation », conçue pour elle-même.”

Carnet d'études n°19 - L'"oeuvre au noir" de Parmesan, dessins et gravures en clair-obscur
Editions ENSBA
Auteur : Françoise Viatte

Dessins de la Kunsthalle de Hambourg

Maîtres des Pays-Bas 1500-1700, Dessins de la Kunsthalle de Hambourg

du 24 mars au 22 mai 2011
Institut Néerlandais
Fondation Custodia
Centre culturel des Pays-Bas
121, rue de Lille,
75007 Paris

Pieter Bruegel l’Ancien, L'Été, 1568, Kunsthalle, Hambourg, 22 x 28,6 cm

La Kunsthalle de Hambourg possède une collection renommée et extrêmement riche de dessins de l’école hollandaise et flamande. Cet ensemble qui ne comporte pas moins de 1380 feuilles a été, pour la première fois, entièrement répertorié et décrit au cours des dix dernières années. Le résultat de ce travail sera publié cet hiver dans un important ouvrage en trois volumes. A cette occasion l’Institut Néerlandais présente un choix de près de 100 dessins sélectionnés avant tout pour leur qualité artistique mais également représentatifs de la diversité des genres et des techniques présents dans cet ensemble, riche à la fois d’esquisses et de feuilles achevées avec beaucoup de soin. La Kunsthalle a donné carte blanche au directeur de la Fondation Custodia pour choisir ses plus beaux dessins, sans restriction aucune.
Sont représentés : Gerard David, Pieter Bruegel l’Ancien, Maarten van Heemskerck, Hendrick Goltzius, Jacques de Gheyn, Roelant Savery et David Vinckboons pour le XVIe siècle.
Pour le XVIIe siècle : Willem Buytewech, Hendrick Avercamp, Jacob van Ruisdael, Pieter Saenredam, Rembrandt (avec trois dessins magistraux), Adriaen et Isaac van Ostade parmi beaucoup d’autres.
Des artistes flamands du XVIIe siècle sont également présents : Antoon van Dyck, Jacob Jordaens, Jan Siberechts et Lucas van Uden.”

La FID 2011



Foire Internationale du Dessin.
Du 31 mars au 3 avril 2011

à la Cité Internationale des Arts
18, rue de l'Hôtel de Ville
75004 Paris

Pierre Pozza, option dessin, Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles
La 3e édition de la Foire Internationale du Dessin FID 2011 a lieu à la Cité Internationale des Arts, 100 étudiants de 40 écoles de beaux arts représentent 14 pays d’Europe ouvrent au public leurs cartons à dessins : 10.000 drawings for the future.

http://fr.foireinternationaledudessin.com/

Portraits dessinés de la cour des Valois

Les Clouet de Catherine de Médicis. Portraits dessinés de la cour des Valois
Au musée Condé – Château de Chantilly
du 23 mars au 27 juin 2011
François Clouet, François de Coligny, seigneur d’Andelot, vers 1555, Chantilly, Musée Condé.
“Le musée Condé conserve un fonds inestimable de 366 portraits dessinés du xvie siècle par Jean et François Clouet provenant de la collection de la reine Catherine de Médicis. Ces dessins ont été restaurés avec le soutien des Amis du musée Condé de 2001 à 2008 ; ils ont fait l’objet de la thèse de doctorat d’Alexandra Zvereva publiée en 2011 par l’association Arthéna.
L’exposition permet de découvrir 90 portraits dessinés par Jean et François Clouet, montrant les grands personnages de la cour de France sous François Ier, Henri II et ses fils. À l’origine de l’art du dessin, ces feuilles témoignent d’un goût réaliste pour le portrait de cour, dans la tradition flamande.”

Musée Condé
Château de Chantilly
F - 60500 Chantilly

Ludovic Duhem - Art et technologie - Séminaire

Séminaire
Ludovic Duhem
"Art et technologie : une approche philosophique avec Gilbert Simondon"

à l’'ISELP
les lundis 9, 16, 23, 30 mai 2011 de 18 à 20h
45 € (30 € enseignants sur présentation d’une pièce justificative – 20 € étudiants effectifs et demandeurs d’emploi sur présentation d’une pièce justificative)
Le paiement d’une cotisation annuelle de 12,50  € est préalable à toute inscription aux cours et aux séminaires.

L’iselp - Institut Supérieur pour l’Etude du Langage Plastique
Boulevard de Waterloo, 31
B-1000 Bruxelles.
tél:+32 (0)2/ 504 80 70
iselp@iselp.be
http://www.iselp.be/index.php/Seminaires/

mercredi 23 mars 2011

La Folie : artistes, créations et beauté insensée


Festival de l’histoire de l’art
Fontainebleau
27-29 mai 2011

Odilon Redon, La fleur du marécage, une tête humaine et triste in Hommage à Goya, 6 lithographies.

http://festivaldelhistoiredelart.com/

Les différentes facettes de ce thème très riche présenteront la folie de l’artiste ou du collectionneur, l’iconographie de la folie, la folie de la création elle-même...
Le public du Festival pourra assister gratuitement à :
• des conférences (1h, 1 intervenant) autour de la folie, avec des personnalités de l’histoire de l’art, du monde littéraire et philosophique ou de la sphère médiatique, ainsi que des grands collectionneurs.
• des tables rondes d’experts (2h, 4 intervenants, 1 modérateur).
• des débats autour d’une œuvre (1h30, 3 intervenants) : une œuvre interprétée par trois regards différents (un historien de l’art, un écrivain, un philosophe, un psychanalyste, un journaliste, un artiste…). Ces ateliers originaux permettront au public de comprendre la diversité des approches et les différentes méthodes et techniques d’analyse des œuvres d’art.

Les lieux : Château de Fontainebleau et Ville de Fontainebleau : Foyer du Théâtre, Salle des fêtes du Théâtre, Salle des Elections.

Extraits du programme :
Vendredi 27, 10h-11h, Jackie Pigeaud, Mélancolie et création artistique
Vendredi 27, 11h-12h, Yves Hersant, Autour de l’Eloge de la Folie d’Erasme. Folie et déraison à la Renaissance
Samedi 28, 11h-12h, Jackie Pigeaud, Folie héroïque et tragique. La folie du héros antique
Samedi 28, 13h-14h, Chakè Matossian, Folie héroïque et tragique. Cy Twombly et la vengeance d’Achille
Samedi 28, 14h30-15h30, JackiePigeaud, Les limites de l’art brut. Lettre de Théroigne de Méricourt adressée à Danton en 1801
Dimanche 29, 10h-11h, Alexandre Vanautgaerden, Autour de l’Eloge de la Folie d’Erasme. Les autoportraits d’Erasme
Dimanche 29, 13h30-15h, Hans Belting,et Frédéric Elsig, La folie dans les Ecritures et leur illustration. Le Jardin des Délices de Jérôme Bosch
Dimanche 29, 17h-18h, Filippo Fimiani, Folie meurtrière. Tremblements de terre et catastrophes de l’âme, ou de l’artiste et de l’historien de l’art en sismographes. Le cas de Joseph Beuys et Terrae Motus

Odilon Redon, Prince du Rêve

Odilon Redon, Prince du Rêve
Grand Palais, Galeries nationales
23 mars 2011 – 20 juin 2011
http://www.rmn.fr/francais/les-musees-et-leurs-expositions/grand-palais-galeries-nationales-9/expositions/odilon-redon

L’Araignée souriante, 1881, fusain, estompe, traces de gommage, grattage et fixatif sur papier velin chamois, Paris, Musée d’Orsay.
« Contemporain des impressionnistes (il participera en 1886 à la dernière exposition du groupe), Odilon Redon (Bordeaux 1840 – Paris 1916), l’un des principaux acteurs de l’art au tournant des XIXe et XXe siècles, a joué un rôle essentiel dans la genèse du symbolisme, notamment par ses fusains et ses lithographies (les célèbres Noirs) avant d’être admiré pour ses pastels et ses tableaux par les jeunes peintres de la couleur, Nabis et Fauves. Il sera ensuite considéré comme l’un des précurseurs du surréalisme.
L’exposition des Galeries nationales représente une véritable redécouverte de cet artiste. Cette rétrospective est la première organisée à Paris depuis celle de l’Orangerie en 1956. Elle repose sur l’étude de nombreux documents inédits qui permettent d’éclairer l’œuvre de Redon d’une lumière nouvelle et comporte quelque 170 peintures, pastels, fusains et dessins, dont plusieurs inédits, ainsi qu’un ensemble très important de l’œuvre gravé et lithographié (environ 100 estampes) ».

L’œil et la passion

Musée des Beaux-Arts de Caen,
Dessins italiens de la Renaissance dans les collections privées françaises
19 mars - 20 juin 2011
http://www.mba.caen.fr/expos/2011/dessinsitaliens.html#
Le musée des Beaux-arts de Caen, qui possède un prestigieux fonds d’art graphique, notamment dans le domaine de l’estampe, vient d’inaugurer une programmation d’expositions sur le thème du dessin ancien. Il propose cette année une exposition de dessins italiens de la Renaissance qui rassemble les plus belles feuilles des collections privées françaises, dessinées en Italie pendant la période de la Renaissance et du Maniérisme, soit un peu plus de soixante-dix dessins, qui n’ont pour la plupart jamais été publiés. La sélection est représentative des meilleurs artistes de l’époque et comporte pour les Vénitiens, entre autres, des feuilles de Véronèse, Schiavone ou Palma Giovane et pour le nord de l’Italie, Parmigianino, Campi. Mais les choix se portent aussi sur la Toscane des Médicis et sur la Rome pontificale avec des dessins d’artistes tels que Fra Bartolomeo, Bandinelli, Giulio Romano, Perino del Vaga, Daniele da Volterra et Federico Zuccaro.

BALTHUS OU LE TEMPS DU SABLIER

Balthus, croquis, études, esquisses
du 26 mars au 20 juin 2011
Musée Rolin
3 rue des Bancs
F - 71400 Autun
http://www.autun.com/distraire/musee_rolin.php#expo

Balthus, Paysage de Monte Calvello, 1972, aquarelle et crayon sur papier peau d’éléphant.

« Grand admirateur des artistes du Quattrocento, Balthus se montre un précieux dessinateur, passant aisément d'une technique à l'autre (crayon, plume, fusain, aquarelle). Doté d’une solide culture classique, il connaît tout de Poussin et d'Ingres. Il se montre parfois proche de Courbet ou est tenté par les formes les plus diverses de l'art oriental. Balthus a appréhendé de multiples expressions du dessin, en utilisant les matériaux les plus divers : pierre noire, plume, stylo ou pinceau (lavis), mine de graphite, crayons de couleur, aquarelle… Il a travaillé à partir de modèles vivants ou de paysages réels, en variant les supports. Il joue avec les grains du papier, les textures, les couleurs ou les épaisseurs. Les œuvres exposées démontrent son goût du perfectionnisme qui l’incite à multiplier les angles de vue et les plans rapprochés pour affiner ses études. Le classicisme apparent de ses compositions révèle des œuvres construites où les attitudes énigmatiques, voire très équivoques, des sujets ne sont là que pour renforcer la sensualité des œuvres. »

Balthus, les dessins, Jean-Pierre Faye, éd. Adam Biro

lundi 21 mars 2011

Nos amis illustrateurs aiment également le papier

Notre collègue et amie Anne Quévy signale les blogs des étudiants de son option “illustration” :
http://illustration-arba.blogspot.com/2011/02/blogs-detudiants-de-loption.html














Où l’on se rend compte que les illustrateurs, tout comme nous, aiment le papier.
Spongiculture :
http://spongiculture.canalblog.com/
le blog d'Aspirine (Oriane Lassus) qui vient d'être sacré “Révélation Blog de l'année 2011” au festival d'Angoulême !

vendredi 18 mars 2011

"traiter les hommes comme des choses"

Tous enfermés dehors
http://www.oedipe.org/fr/actualites/enfermedehors
"A quelques jours de la discussion à l'assemblée nationale, en séance publique, du projet de loi relatif aux droits et à la protection des personnes faisant l'objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge, il nous a paru nécessaire de revenir sur le contexte idéologique dans lequel, depuis quelques années, s'insère tout un ensemble de dispositifs réglementaires tendant à transformer le sujet de la démocratie en individu à risque dont il s'agit de contrôler les moindres écarts de conduite. Dans ce projet de loi dont la visée sécuritaire avance derrière le paravent du « droit des patients », il est maintenant tout à fait clair que, loin de travailler à sortir les patients de l'hôpital psychiatrique, il s'agit désormais – par l'élargissement des soins sans consentement jusqu'au domicile – de transformer la société elle-même en un gigantesque hôpital psychiatrique réduit à sa dimension la plus gestionnaire et médicalisante. Ce faisant, l'hôpital psychiatrique cesse d'être ce qu'il devrait être : une institution qui accueille la folie, dans un lieu et un temps en position tierce, un espace intermédiaire et symbolique entre le malade et la société. Une institution taillée et pensée à la mesure des patients qu'elle accueille, une institution qui ne se contente pas d'être un lieu dans lequel on soigne, mais un lieu qui, lui-même, en tant que tel, soigne. Mais comment l'institution soigne-t-elle par elle-même ? Elle soigne - justement - parce qu'elle est une institution, du fait même de ce qu'elle institue, c'est-à-dire des sujets.
Or, que se passe-t-il depuis la folie sécuritaire qui nous affecte ? Il n'y a plus d'institution. Il n'y a que des établissements - distinction essentielle selon le courant de la « psychothérapie institutionnelle » - des établissements réduits à « gérer » les soins, l'éducation, la culture, comme on gère des flux de marchandise ou des comptes en banques. Ainsi considérer, un établissement devient une entreprise comme une autre a contrario de l'institution. C'est le sens de ce que nous combattons à l'Appel des appels, dans la mesure où ce qui touche la psychiatrie n'est pas sans rapport avec ce qui destitue les sujets dans tous les autres secteurs où il s'agit de les faire advenir comme sujet.
L'établissement obéit à une logique gestionnaire et comptable, là où l'institution accueille des sujets, et les suppose même d'emblée dans sa structure même.
On voit donc la logique du pouvoir politique actuel à l'œuvre : destituer au lieu d'instituer.
[...] extension infinie du domaine de la santé « colonisant » les régions naguère attribuées à la morale, à la religion, à l'éducation, au social et au politique a accompagné le passage des sociétés fondées sur la loi souveraine à des sociétés fondées sur la norme
Cf notamment Michel Foucault, Naissance de la biopolitique et Roland Gori et Marie-José Del Volgo, La santé totalitaire et Exilés de l'intime.
[...]
Roland Gori, "La traque des dys", dans Filmer, ficher, enfermer. Vers une société de surveillance, ouvrage coordonné par Evelyne Sire-Marin. Notes et documents de la fondation Copernic (Syllepse, 2011) et De quoi la psychanalyse est-elle le nom? Démocratie et subjectivité (Denoël, 2010).
[...] glissement d'apparence « technique » entre « les troubles » et les « symptômes » s'avère lourd de conséquences épistémologiques et politiques. Il se déduit de cette confusion imméritée de l'anomalie et du pathologique. Toute anomalie n'est pas anormale ou pathologique [voir] Canguilhem
[...]
Si toute société n'a au fond que la psychiatrie qu'elle mérite, nous voyons bien que ce projet de réforme n'est que le témoignage d'une mutation anthropologique venant promouvoir une société dans laquelle la soumission sociale opère aujourd'hui non au niveau de la transcendance des discours religieux ou souverains, mais par des techniques d'assujettissement, des procédures légales qui captent les corps, dirigent les gestes, modèlent les comportements au nom de discours de vérité produits par les institutions de la science.
Cette société de la norme exige des systèmes de surveillance de contrôle et de gouvernementalité des conduites et prend sa référence dans le développement normatif des individus en faisant l’impasse sur le pathos des souffrances psychiques et sociales. Ce n’est plus la maladie mentale qui l’intéresse mais tout « ce petit peuple des anormaux » qu’il s’agit de dépister le plus férocement et le plus précocement possible pour rendre compte de leur « trajectoire d’agression physique », quitte à leur ouvrir la « carrière » des exclus par une prophétie autoréalisatrice qui produit ce qu’elle disait diagnostiquer.
Tout cela, bien sur, se faisant toujours au nom de « l'objectivité », nous conclurons avec Adorno : « L’objectivité dans les relations entre les hommes, qui fait place nette de toute enjolivure idéologique, est déjà devenue elle-même une idéologie qui nous invite à traiter les hommes comme des choses. »"
Roland Gori, Fabrice Leroy

lundi 14 mars 2011

Chakè Matossian – Palais des Académies


COLLEGE BELGIQUE – Palais des Académies

"Léonard de Vinci et Dürer : autoportraits sur le mont Ararat"
Chakè Matossian (Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles)

Le jeudi 7 avril 2011, de 17 à 19 heures.

"Léonard de Vinci, pris dans le déluge, se déclare ambassadeur en Arménie. Dürer se peint sur le Mont Ararat en compagnie des dix mille martyrs. Les visions et prophéties de ces deux artistes majeurs de la Renaissance ont donc en commun un lieu, le mont Ararat, l’Arménie. Pourquoi Vinci et Dürer ont-il choisi de se désigner, de se raconter là comme en un ailleurs familier ? Et pourquoi la relation si forte et étroite qu’ils établissent avec l’Arménie imaginaire reste-t-elle si peu connue, ignorée ou même passée sous silence? Pour Chakè Matossian ces artistes, hantés par les formes du déluge, habités par la question du devenir des âmes, du jugement dernier et de la résurrection, tissent un lien non seulement avec Noé sauvé sur l’Ararat mais encore, et plus secrètement, avec Platon, à travers le personnage d’Er l’Arménien. Chakè Matossian, s’appuyant sur la Théorie de la science de Fichte pour montrer ce qu’il en est de la vision vivante, examine ces autoportraits en Arménie à la lumière de Platon et des écrits mystiques de Guillaume Postel. Lieu de coïncidence entre l’évanescence de la forme et la vie même, entre le génie païen et le cœur chrétien, entre l’Orient et l’Occident, l’Ararat des peintres se fait lieu de vision du réel."

Palais des Académies
Rue Ducale 1,

B1000 Bruxelles

mercredi 2 mars 2011

Géométrie de l'absence à Quartiers Latins

Dans le cadre de “Drawing in an Expanded Field”
exposition des étudiants de l’option “dessin” de Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles et "Abords et (re)lectures" de Géométrie de l'absence à Quartiers Latins


« Géométrie de l’absence paraît en 1969, à un moment charnière de l’histoire de la poésie belge. Ce recueil d’une richesse quasi inépuisable se signale par une poétique de composition, voire de scission, des styles, des influences, des tons, des formes et des langages. Ancré dans une tradition forte de classicisme formel et de goût de la versification par ses jeux virtuoses sur cet instrument de choix qu’est l’alexandrin, mais aussi par sa thématique intemporelle (la mort, l’amour, le deuil, la poésie), il fait évoluer cette tradition avec autant de subtilité que de violence, par maints traits qui la mettent en prise directe avec une modernité multiple : hermétisme, émergence de l’inconscient, sens de l’absurde, jeux sur le langage, créativité du signifiant. Le second degré laisse au poème toute sa charge émotionnelle, propre à toucher le lecteur, qui a le lire et le relire ne peut trancher face à ce livre écartelé entre élégie et autodérision, espoir et désespoir, lyrisme et métaphysique, idéalisme et sensualité, tradition et liberté. »
Gérald Purnelle



mardi 1 mars 2011

Exposition Sylvie Pic : dessins







Exposition Sylvie Pic : dessins
Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles
du 25 février au 31 mars 2011.
Exposition ouverte du lundi au vendredi de

9 h à 18 h et les samedis de

9 h à 13 h




Cette exposition est organisée dans le cadre du programme de recherche “Art, topologie, psychanalyse” développé depuis deux ans à partir de l’option “dessin” de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles et dans le cadre des manifestations “Drawing in an Expanded Field” : 300 ans d’existence de l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles - EsA et 30 ans de l’atelier de dessin
























Pictoriana : portail consacré aux écrits d’artistes


Pictoriana est un site consacré aux recherches sur les écrits d’artistes et, plus globalement, sur les rapports entre littérature et arts.

Pictoriana abrite une base de données consacrée aux artistes-écrivains belges. Destinée aux étudiants, chercheurs et à toute personne que la question des rapports entre littérature et peinture intéresse, elle recense des informations biographiques, ainsi que des données factuelles sur les cursus artistique et pictural de ces artistes. Elle est accessible après enregistrement, soit pour consultation, soit pour contribution directe (encodage de données).
Pictoriana comprend un espace de publication, ouvert aux chercheurs et aux travaux remarquables d’étudiants. Il peut accueillir des articles, des comptes rendus et des dossiers complets sur les relations entre littérature et peinture. L’espace de publication n’est régi par aucune périodicité: les propositions sont donc les bienvenues tout au long de l’année.

Pictoriana se veut un outil de référence pour la recherche sur les relations entre littérature et arts, et plus précisément sur les écrits d’artistes. Pour cette raison, il publie régulièrement des appels à communication, tient l’agenda des parutions et conférences, recense des liens utiles, et propose un annuaire que tout chercheur sur les relations texte-image est invité à compléter.

http://www.pictoriana.be/