
jeudi 9 juin 2011
mercredi 8 juin 2011
Christine Ott Ausstellung
Ausstellung “Flächenspiele mit Raum und Zeit”
Galerie Bezirk Oberbayern

Flächen sind die Grundbausteine, mit denen sich Monika Humm malerisch und Christine Ott grafisch auseinandersetzen. Die beiden Münchner Künstlerinnen spielen mit der räumlichen und zeitlichen Ebene und stellen dabei die Wahrnehmung der Betrachter auf die Probe. Zu sehen sind die Arbeiten ab 8. Juni in der Galerie Bezirk Oberbayern.
Christine Ott (geboren 1964 in München) wuchs in Italien und Belgien auf. Sie studierte an der Kunstakademie in Brüssel bei Prof. Lucien Massaert und Dany Vienne und im Anschluss Kommunikationsdesign an der FH München bei Prof. Heiner Hoier. Ott arbeitet vorwiegend mit Tusche. Sie bringt Flächen und Linien auf Papier und schneidet es in dünne Streifen oder kleine Rechtecke, die sie dann in dem unendlichen Raum kombinatorischer Möglichkeiten aneinanderreiht und fixiert. So erstellt sie mit einfachen Mitteln Strukturen, in denen spielerisch Unregelmäßiges und Regelmäßiges sowie Absichtliches und Zufälliges aufeinandertreffen. Jede ihrer seriell erstellten Grafiken lässt sich waagerecht, senkrecht, diagonal und „chaotisch“ sowie in Beziehung zu ihren anderen Arbeiten lesen. Der Aufbau folgt wiederkehrenden Ordnungsprinzipien wie dem der Teilung von Flächen oder der Wiederkehr der Beziehung „Teil und Ganzes“ auf unterschiedlichen Ebenen.
mardi 7 juin 2011
Journée d'études - L’invention de l’œuvre
RODIN ET LES AMBASSADEURS
JOURNEES D'ETUDES LES 8 ET 9 JUIN AU MUSEE RODIN
Dans le cadre de l’exposition « L’invention de l’œuvre – Rodin et les ambassadeurs », le musée Rodin organise les 8 et 9 juin 2011 un colloque au cours duquel seront abordées les questions essentielles du regard, de l’interopérabilité des œuvres, des procédures et instances d’invention et d’instauration des œuvres de même que des questions liées au travail artistique de Rodin et dans l’art du xxe siècle.
Mercredi 8 juin de 9H30 à 17H30
Aline Magnien, Inventer l’œuvre
Agnès Cascio et Juliette Lévy, Les trente bustes de Clémenceau
Jean-Luc Nancy, L’opération
Stephen Bann, La sculpture et sa reproduction : moulage, gravure, photographie
Jean-Christophe Bailly, Vers le brouillon général
Peter Szendy, L’œuvre point
Alexandre Vanautgaerden, L’art contemporain dans les lieux de mémoire
Jeudi 9 juin de 10H à 12H
Bénédicte Garnier, La maison à l’œuvre. Fantaisies de la Villa des Brillants à Meudon
Federico Ferrari, L’art, la vie ou la puissance de l’œuvre. The Weather Project
Jean-Christophe Bailly et Tanguy Viel, Fin ou suspens : la forme comme souvenir ?
Auditorium du Musée Rodin
21, boulevard des Invalides
75007 Paris
http://www.musee-rodin.fr
Accès libre dans la limite des places disponibles.
Ouverture des portes 30 minutes avant le début de la journée d’études
L'INVENTION DE L'OEUVRE. RODIN ET LES AMBASSADEURS
6 MAI - 4 SEPTEMBRE 2011
JEAN ARP, MARCEL DUCHAMP, JOAN MIRO, JEAN FAUTRIER, LUCIO FONTANA, JEAN DUBUFFET, ALBERTO GIACOMETTI, WILLEM DE KOONING, JOSEPH BEUYS, MARCEL BROODTHAERS, EDUARDO PAOLOZZI, ANTHONY CARO, CY TWOMBLY, ERIC CAMERON, RICHARD SERRA, BRUCE NAUMAN, HAIM STEINBACH, SOPHIE RISTELHUEBER, UGO RONDINONE, DOUGLAS GORDON, URS FISCHER.
Paul Noble

Paul Noble has produced an extraordinary amount of work that combines meticulous craft with a political vision to produce a synthesis of drawing, architecture, philosophy and satire.
Born in Northumberland, Noble was a founding member of City Racing, an influential art space in London in the 1990s. His work has since been exhibited internationally and is held in the collections of Tate and the Museum of Modern Art, among others.

Paperback, 196 pages, colour and b/w illustrations. Co-published by the Whitechapel Gallery, London, Migros Museum, Zurich, and Museum Boijmans Van Beuningen, Rotterdam, 2004.

Paul Noble est né en 1963 en Grande-Bretagne.
Dirigé par Heike Munder et Anthony Spira.Textes de Iwona Blazwick, Heike Munder, Ingrid Rowland, Anthony Spira.
http://www.whitechapelgallery.org/shop/index.php/fuseaction/shop.product/product_id/145?session_id=1307447152586bff9d342a74c82d1546c88471eb28
dimanche 5 juin 2011
Le papier à l’œuvre

Le Louvre – Arts graphiques
du 9 juin au 5 septembre 2011.
« Une exposition consacrée par le Louvre et Canson aux artistes et au papier du XVe siècle à aujourd’hui.
Blanc, coloré, transparent, huilé, tramé ou filigrané, découpé, déchiré ou malmené, récupéré, le papier est un acteur à part entière du dessin. En témoigne cette exposition qui rassemble une soixantaine d’œuvres, du XVe siècle à aujourd’hui. Organisée en cinq ensembles, elle démontre la vivacité des ressources esthétiques du papier.
Le premier ensemble s’attache aux papiers de couleur : papier rose, avec des œuvres de Botticelli, Degas ou Robert Barry ; papier bleu, avec notamment un dessin de Lavinia Fontana ; et huiles sur papier, support très en vogue à partir du XVIIIe siècle.
Le deuxième propose une promenade à travers les métamorphoses du papier : feuille composite de Rubens, papiers collés de Braque et de Picasso, gouaches découpées de Matisse…
Le troisième confronte des papiers choisis pour les effets qu’ils permettent ou fabriqués à la demande à des papiers récupérés par les artistes, comme le verso d’une gravure coupée ou un morceau de carte à jouer.
Le quatrième ensemble est consacré aux papiers transparents et de report, avec des œuvres de Le Brun, Cross ou Pierre Buraglio.
Enfin, la dernière partie présente presque uniquement des œuvres de la fin du XXe siècle – superpositions de Claude Viallat, tressages de François Rouan, papiers meurtris de Miquel Barceló ou de Christian Jaccard. »
http://www.louvre.fr/llv/exposition/detail_exposition.jsp?pageId=1
Conférences d'histoire de l'art
Lundi 20 juin 2011 à 12h30
Présentation d'exposition : Le papier à l'œuvre par Nathalie Coural, C2RMF et Hélène Grollemund, Musée du Louvre
« Attesté dès le IIe siècle avant J.-C. en Chine, le papier voyage à travers le temps et l’espace, suscitant l’intérêt et des développements incessants pour devenir le matériau de l’écriture et la matière des artistes.
A chaque génération, le papier est en effet acteur à part entière du dessin. C’est ce que propose de montrer l’exposition Le papier à l’œuvre, en rapprochant des œuvres anciennes de dessins modernes et contemporaines choisis dans les collections publiques et privées françaises.
Qu’elle soit blanche ou colorée, lisse ou tramée, transparente ou non, la feuille recueille la pensée de l’artiste, ses observations, ses hésitations. […] Il peut aussi découper sa feuille, la coller et la punaiser et, tel Matisse, « dessiner directement dans la couleur ». Pour achever une figure en pied, l’artiste ajoute une bande de papier, pour décrire une longue procession, il assemble plusieurs feuillets entre eux (Stefano della Bella).
Le papier est toujours choisi, quelles que soient les circonstances. Usagé, récupéré, car il faut créer coûte que coûte, l’artiste l’ennoblit : c’est le papier de fortune. Fabriqué pour lui à dessein, à partir du XIXe siècle, c’est le papier d’art dont le grain accroche, par exemple, la craie Conté de Seurat. Enfin, aux XXe et XXIe siècles, les artistes s’emparent librement de la matière du papier… dans des assemblages éclatants, des imbrications, des superpositions ou des imprégnations d’encres ; pour la mutiler, la meurtrir aussi, par déchirure, perforation, voire même par brûlure…
Hélène Grollemund a contribué à plusieurs expositions présentées au musée du Louvre : Rembrandt dessinateur (2006), Renaissance et maniérisme aux Pays-Bas (2008), Maîtres du dessin européen du XVIe au XIXe siècle (2009-2010), et bientôt, avec Pascal Torres Guardiola, Les Belles Heures du duc de Berry (2012).
Natalie Coural est membre des comités de lecture de différentes revues concernant le papier, Support-Tracé, PapierS et collabore à l’organisation de colloques pour l’International Association of Paper Historians (IPH). Elle participe aussi à des groupes de recherche sur l’histoire de la restauration des œuvres graphiques et a publié plusieurs articles sur le sujet, notamment dans la revue Techné et à l’ICOM-CC. »
samedi 4 juin 2011
André Masson, Vingt-deux dessins sur le thème du désir
Il y a plus. La tentative d'une expression de l'inconscient par le truchement du dessin, à l'origine du surréalisme, tendait au document psychiatrique, sans souci esthétique. A tel point qu'il n'était pas nécessaire de savoir, paraît-il, dessiner et encore moins de savoir peindre. Vers 1930, un tournant, comme on le sait : il fut souhaitable de renouer avec l'académisme. Est-il nécessaire de dire que ce ne fut jamais mon penchant (du moins, je l'espère). Au contraire, je crois bien que, pour la capture qui nous occupe, ce n'est pas la maladresse enfantine ou le graphisme idiot du désœuvrement que j'envierai ; et encore moins des minuties d'épileur morose, mais la libre virtuosité d'un Goya ou la longue expérience d'un Hokusaï. […] »
André Masson, Vingt-deux dessins sur le thème du désir, éd. Fourbis, 1992, pp. 10-11.

« Les Vingt-Deux Dessins, par la vitesse et la maîtrise de leur exécution, représentent l'épanouissement suprême du graphisme tel qu'André Masson l'a développé à travers les dessins automatiques et les figures mythologiques. La vitesse est la preuve de l'automatisme : Masson n'aurait pu autrement couvrir vingt grandes feuilles (50 x 65 cm) en une journée ; quant à la maîtrise, elle saute aux yeux tant par l'organisation de l'espace que par la vivacité des figures, mais ce comble de réussite entraîne la contestation de tout le trajet qu'il accomplit : "Je m'aperçus tout à coup, que longtemps j'avais emprunté les manières du dessin pour les introduire avec excès dans mes tableaux, afin d'exprimer les formes en devenir. Et voilà que mes réflexions me mettaient en face de cette vérité impitoyable : la ligne, même juxtaposée à des taches colorées et fuyantes, limite l'action. Ces lignes, en somme, ce n'étaient que des squelettes de mouvement... » (“Métamorphose de l'artiste”, chapitre II, pp. 53 et 54)." (Bernard Noël, André Masson, Gallimard, 1993, p. 124.)
« Cette réflexion sur l'altérité va au-delà des monstres, étudiés dans l'article sur Masson, qui servaient d'intermédiaires à cette théorie des fluidités, des flux et des tourbillons qui travaille Sartre à cette époque et s'ouvre vers les arts de l'expressionnisme abstrait, de l'abstraction lyrique et du tachisme, pouvant lire ainsi, dans les Vingt-deux dessins sur le thème du désir, « l’annonciation encore incertaine d’une autre manière ». A propos du vertige transformationnel de circulations et d'apparences, Sartre écrivait : « Masson est amené par là à retracer toute une mythologie des métamorphoses : il fait passer le règne minéral, le règne végétal et le règne animal dans le règne humain ». (1) Cette pénétrabilité des formes et des règnes est faite pour témoigner d'une sorte de conflit dans les matériaux qui ne quittera plus Sartre et qui sera l'un de ses thèmes majeurs dans l'art, jusqu'au dernier texte « Coexistences », sur Rebeyrolle, en 1970. De Masson, il entrevoit, sous-jacente, une sexualité perverse, qui le rapprochait, dans cet immédiat après-guerre, de Bataille :
« Et toujours dans le même esprit, pour unir ces formes ambivalentes par des relations intimes qui soient en même temps des répulsions et des dissonances, il invente de les opposer dans l'indissoluble unité de la haine, de l'érotisme et du conflit. (2) »
Érotisme et conflit traversent le monde de Masson, sous la plume de Sartre, comme celui de Wols et de Rebeyrolle un peu plus tard. A lire la suite, on sera saisi par la sexualité généralisée que Sartre souligne, mais qui n'est que la révélation d'une structure d'antagonisme plus vaste :
« Quand il dessine Deux arbres, en 1943, ce n'est pas assez que ces arbres soient homme et femme à demi : encore faut-il qu'ils fassent l'amour ; et dans Le Viol, en 1939, les deux personnages se fondent l'un à l'autre dans l'unité béante et douloureuse d'une même blessure, d'un même sexe. Ainsi naissent les sujets : viols meurtres, combats singuliers, éventrements, chasse à l'homme ». (3)
Notons la poétisation de la blessure comme sexe, fréquente chez les surréalistes, n'est que le creuset où se lit toute notre sensibilité faite d'opposition et de clivages, entre le masculin et le féminin, la vie et la mort, l'humain et l'inhumain. L’anti-humanisme de Sartre, à travers ce devoir de monstruosité, se lit à livre ouvert »
1. Jean-Paul Sartre, “Masson”, Situations IV, pp. 400-401.
2. Ibid, p. 401.
3. Ibidem.
© Michel Sicard www.michel-sicard.fr
http://michel-sicard.fr/textes/sartre/sartre-esthetique.pdf
dimanche 22 mai 2011
L’image pense.
Centre Allemand d’Histoire de l’Art, Paris
Conception et organisation :
Journées de recherche organisées à l’initiative de Maud Hagelstein (F.R.S-FNRS, ULG, Belgique), Audrey Rieber (eikones, Bâle, Suisse), Muriel van Vliet (Centre Allemand d’Histoire de l’Art, Paris et Université de Rennes 1)
Présentation :
Deux volets :
1/ Mardi 31 mai 2011 (Centre Allemand d’Histoire de l’Art, Paris)
Premier volet organisé par le Centre Allemand d’Histoire de l’art de Paris dans le cadre du thème annuel « Parler par l’image- Parler sur l’image ».
2/ Le second volet de ces journées se tiendra le vendredi 16 décembre 2011 à l’Université de Liège Place du XX août, 7 B - 4000 Liège
Second volet organisé par le groupe de contact F.R.S.-FNRS « Esthétique et philosophie de l’art » et le groupe de contact F.R.S.-FNRS « Historiographie et épistémologie de l’histoire de l’art » (Belgique)
Thème des deux journées et enjeux
"L’amateur ou le chercheur curieux de la puissance significative de l’image se voit aujourd’hui confronté à une profusion de discours sur l’image et sur l’art puisqu’à ces disciplines traditionnelles que sont la philosophie de l’art, l’esthétique et l’histoire de l’art se sont ajoutées les visual studies, la Bildkritik, la Bildwissenschaft ou encore l’anthropologie du visuel. Interroger les fondements philosophiques des discours consacrés à l’image (d’art) et tout particulièrement la possibilité d’une pensée de l’image, au double sens du génitif subjectif et objectif, nous semble donc de la première importance. Selon quelles modalités en effet faut-il aborder l’image (notamment d’art) et son mode spécifique de signification ? Comment dégager ses éléments les plus signifiants et est-il possible de les « traduire » en un discours ? Nous souhaitons examiner ces questions d’une portée philosophique générale sous le filtre des théories et des pratiques d’Aby Warburg, d’Ernst Cassirer et d’Erwin Panofsky qui se sont attachés à la question de la signification de l’image en l’ancrant dans son contexte culturel, historique et anthropologique. Le fait qu’ils contribuent tous trois à théoriser l’histoire de l’art sous la forme qu’elle prend à la fin du 19ème et au début du 20ème nous invitera à nous demander si l’histoire de l’art constitue un lieu privilégié pour penser l’articulation de l’image et du langage, de l’image et de l’histoire.
Parce qu’il est devenu de coutume d’opposer Warburg à Panofsky, et d’ancrer la pratique iconologique de ce dernier dans le sillage néo-kantien de Cassirer, nous avons pris le parti d’étudier plutôt la constellation qu’ils forment et qui les rassemble autour du problème de la signification de l’image et de la spécificité de la pensée qui y est à l’œuvre. Iconologie critique, méthode iconologique, philosophie des formes symboliques constituent en effet des variations sur la façon d’envisager la pensée, le langage et l’image ainsi que leurs rapports. Si ces trois penseurs retiennent ici notre attention, c’est qu’ils ont contribué à comprendre l’ « intelligence » du monde visuel et à la mettre en valeur. Au moment où Warburg développait le concept d’espace de pensée (Denkraum) relatif à l’iconosphère renaissante, Cassirer et Panofsky, guidés par les principes du néokantisme, tentaient de dégager les réseaux de sens de l’image pour déterminer les clés de la rationalité picturale. Parler de « sens de l’image », avancer même que l’image « pense », implique non seulement que l’on reconnaît l’existence d’une logique propre à l’image dont l’organisation interne est productrice de signification, mais que l’on voie en elle le travail d’un certain logos. C’est ce positionnement autrement plus polémique que nous avons à cœur d’explorer.
Mais comment rendre raison de cette « pensée » au travail dans les images (d’art) ? Par quels moyens rendre compte de cette pensée immanente à l’œuvre d’art et de quelle nature est-elle ? Dans quelle mesure a-t-elle un impact sur la méthode de l’historien et du philosophe soucieux d’inscrire l’image dans la culture et l’histoire ? Le cœur du problème nous semble résider dans le statut de la pensée et dans son rapport au langage. Si le langage et l’art appartiennent chez Cassirer à une même fonction symbolique générale, ils constituent néanmoins des modalités différentes de cette fonction. Est-ce à dire que l’image produit un type de pensée et de signification indépendamment du langage ? Que la signification de l’image ne se réduise pas à sa traduction en mots signifie-t-il que l’on peut se passer du paradigme du langage ? L’ambiguïté, la plurivocité, les contradictions des images rendent d’autant plus urgente une clarification des modalités et de la portée du discours qui lui est consacré."
Programme de la journée parisienne :
Mardi 31 mai 2011
Adresse :
Centre Allemand d’Histoire de l’Art/Deutsches Forum für Kunstgeschichte
10 place des Victoires
75002 Paris
• 9H30-10h30 : Andreas Beyer : « Exile in cinema. Panofsky in the USA »
• 10H30-11H30 : André Stanguennec : « Le cinéma et la peinture comme formes symboliques : autour d’Erwin Panofsky et d’Ernst Cassirer ».
• 11H45-12H45 : Maud Hagelstein : « Images et Denkraum (espace de pensée) : l’œuvre d’art comme solution critique aux tensions culturelles ».
• 14H00-15H00 : Audrey Rieber : « Texte, image et pensée. Du ‘logocentrisme’ de Panofsky ».
• 15H00-16H00 : Dimitri Lorrain : « Cassirer/Warburg : la pensée de l’image entre dispositif culturel et pratique thérapeutique ».
• 16H15-17H15 : Caroline Behrmann : « Le mythe et la magie dans la pensée d’Aby Warburg et d’Ernst Cassirer ».
• 17H15-18H15 : Gwendolyn Schneider : « Erwin Panofsky und die Sprache (der Kunst) ».
vendredi 20 mai 2011
Pink is the Most Manly Colour

MX7 GALLERY // ANTWERP
... brings to you a selection of contemporary art with a focus on science-art and interdisciplinary art. MX7 is not only a gallery, it is also a platform for artists and socio-cultural organisations when they engage in applications for funding, networking, production management or communication services, based in Antwerp, Belgium.
mardi 17 mai 2011
Burroughs reste sulfureux
L'éditeur turc Irfan Sanci à nouveau devant les tribunaux

« Le P-DG de Sel est poursuivi pour avoir publié La machine molle, de William Burroughs.
Après un procès en 2010 pour avoir traduit et publié en Turquie Les exploits d’un jeune Don Juan, roman érotique de Guillaume Apollinaire http://www.livreshebdo.fr/actualites/DetailsActuRub.aspx?id=5441
l’éditeur Irfan Sanci se retrouve à nouveau poursuivi pour “obscénité” par la justice turque au titre de l’article 226 du code pénal pour la publication de La machine molle de William Burroughs.
http://www.livreshebdo.fr/etranger/actualites/l-editeur-turc-irfan-sanci-a-nouveau-devant-les-tribunaux/6684.aspx
dimanche 15 mai 2011
Arié Mandelbaum tout craché
Maurice-Moshé Krajzman
"De la photographie elle-même, il convient de souligner le manquement. Jouant à plein dans la répétition.
Répétition qui, à proprement parler, manque. Dans la mesure où répétition n'est pas retour. Ni retour ni reproduction.
Arié Mandelbaum, Portrait de Julien Lahaut, 70 x 100 cm.
Du Réel comme rencontre, du Réel “dans son expression infatigable” (2). Voilà la photographie.
Barthes a pourtant beau affirmer que la photographie reproduit à l’infini ce qui n’a eu lieu qu’une fois, on ne pourra le suivre qu’à se demander si même “ça” a eu lieu une fois.
Ou alors, “ça” a eu lieu comme a eu lieu ce que, dans l’histoire de la psychanalyse on a appelé “le traumatisme”, le “trauma”. C’est-à-dire fort peu.
Tant, qu’à faire un pas serait de projeter le passé dans un discours en devenir (3)!
Ou dans un tableau.
A quel point le monde tient dans le fantasme et comment le peintre y participe dans ce qui le fait peintre, on en tient la marque d’Arié Mandelbaum quand il se met à dessiner, à peindre la photo de sa mère... ou du Président Mitterrand.
Arié Mandelbaum, Etude pour un portrait de ma mère, 50 x 65 cm.
Scènes de la famille Mandelbaum saisies comme un fantasme. Scènes idéales où le passage de la photographie à la toile ne fait qu’accentuer la place de chaque personnage dans sa fonction d’être en représentation. En ne le sachant pas. Ou, comme Mitterrand, en le sachant “à peine”.
Exactement comme dans le fantasme.
Procéder par “inspiration” à partir d'une photographie – démarche fréquente chez Arié Mandelbaum – revient à inscrire un tableau dans le tableau.
Comme Velasquez le fait dans Les Ménines, comme Magritte s'y engage dans la Tentative de l'impossible.
Arié Mandelbaum, Etude d’après Les Ménines, 70 x 100 cm.
Piège doublement retors, car ce portrait a beau venir d’un “cliché”, il n’en fait pas moins écran. Au même titre qu’Arié en autoportrait, il s’agit d’une nature morte... de vivant, d’un tableau vivant, d’une vision, d’un fantasme.
On a beau nous faire croire qu’il s’agit de la réalité (quoi de plus “réel” que Mitterrand sortant de la synagogue après l’attentat de la rue Copernic ?), il n'en s’agit pas moins d’une réalité qui se trouve être marginale. Marginalisée par le désir (du photographe et du dessinateur) et projetée en écran.
Arié Mandelbaum, Mitterrand, 1983, fusain, 73 x 110 cm.
Tourmentés, nous le serons alors comme spectateurs pris au piège de ces dessins noirs.
Regardés par ces portraitures qui ne voient pas, nous serons pris d’angoisse et de vertige, littéralement prisonniers.
“Un tableau nous retenait prisonniers” écrivait Wittgenstein, “Et nous ne pouvions nous en dégager. Car il était contenu dans notre langage et le langage ne semblait que nous le répéter inexorablement” (4).
Si ces portraits ne se soutenaient que d’Arié Mandelbaum se mirant dans un miroir (ce qui est, apparemment au départ de certains autoportraits), et même si Arié n’était que “tout le portrait de sa mère”, ou sa mère “tout le portrait d’Arié” (Arié tout craché), ils ne produiraient pas cet effet.
Car ce qui est si traîtreusement “offert” à nos regards, ce n'est pas le mirage du peintre, “modèle compliqué d'un artiste” (Baudelaire).
Non ! si Arié se tire le portrait, c'est pour abîmer le nôtre dans la force d'attraction de son fantasme.
Insidieusement, et contrairement aux injonctions des lignes internationales (e pericoloso sporgersi), il nous demande de nous pencher, avec lui, par la fenêtre. Et non de le mirer se mirant au miroir.
Aimantés, nous en perdons la boussole. C’est le vertige, et le tour est joué.
Engagé dans l’aventure de la figure (5), Arié Mandelbaum le sera au titre de se trouver au milieu de ce qu’il peint (5).
Certes, mais au balcon et non au miroir."
Maurice-Moshé Krajzman
1. Jacques Lacan, Le séminaire, Livre XI, p. 54.
2. Roland Barthes, La Chambre Claire, Cahiers du cinéma. Seuil, Paris 1980, p. 15.
3. Jacques Lacan, Ecrits, p. 225.
4. Wittgenstein dans Recherches philosophiques, cité par Jean Clair dans le catalogue de la rétrospective
Magritte â Bruxelles en 1978, p. 44.
5. Jacques Lacan : “le sujet est engagé dans l'aventure de la figure”, “le peintre est au milieu de ce qu’il peint”. Le séminaire, 1966, (inédit).
Texte publié dans Revue et corrigée 16, “Arié Mandelbaum”, été 1984, Bruxelles, pp. 59-62.
Arié Mandelbaum
Exposition
Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles
Rue du Midi 144, 1000 Bruxelles
du samedi 14 au jeudi 19 mai 2011

« Arié nous semble être à l’image même de ce soutien à la création artistique actuelle. A l’instar de ces maîtres du Quattrocento qui accueillaient de jeunes disciples au sein de leurs ateliers, il permet régulièrement, sous son regard bienveillant et empreint d’humilité, à de jeunes peintres, d’anciens élèves, de travailler voire d’exposer en ses murs, comme il en a par exemple été question lors des deux précédentes éditions de Visit. C’est pour nous un plaisir immense de mettre, une fois de plus, en lumière le travail de ce grand artiste et qui plus est de le faire au cœur même de l’Académie royale des Beaux-Arts, lieu de son apprentissage personnel de la peinture, plate-forme d’émulation artistique et carrefour d’une réflexion quotidienne sur l’Art aujourd’hui. »
« Les peintures d’Arié Mandelbaum se concentrent en quelques noyaux d’images originelles.
Elles interrogent sans cesse l’histoire collective – la shoah – où s’inscrivent les destins des disparus et des survivants. Ce néant, en activité, détermine la démarche du peintre qu’elle soit apparition ou effacement des figures.
La présence qui s’y affirme se déploie en un temps singulier où le passé et le futur entrent en collision. Ce travail de reconstitution de la mémoire intègre les images de la chute et du couple chassé du paradis, les souvenirs d’enfance, les corps des amants dans l’étreinte et la séparation. Quel espace inventer pour réunir les braises de cette passion, pour conjurer la peur sans l’escamoter ? Qu’inscrire sur le blanc du papier pour qu’apparaisse ce qui sans cesse se défait, dont ne demeurent que les traces et leur spectre coloré. Un tremblement contamine le blanc, nous rappelle ce qui fut et sans cesse revient nous hanter. »
Serge Meurant
Judith Duchêne, Céline Bourseaux, Jessica Duquesne, Francis Gaube
EXPOSITION
L'ARBA-ESA ET LE ‘75, OPTIONS DESSIN ET PEINTURE
Exposition du 19 au 21 mai 2011, de 14 h à 18 h
à la Galerie Nardone
34-36 rue Saint-Bernard
1060 Bruxelles
Vernissage le mercredi 18 mai à 18 h 30
Exposants :
Victoire Poot Baudier, Laura Fanara, Ronja Schlickmann, Emmanuelle Williot, Judith Duchêne, Céline Bourseaux, Jessica Duquesne, Francis Gaube.
mercredi 11 mai 2011
Michel Guérin à la libraire Tropismes
à la libraire Tropismes
Galerie des Princes 11
1000 Bruxelles
L


http://www.tropismes.com/agenda/michel-guerin
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www.tropismes.com
lundi 9 mai 2011
Colloque. Survivance d'Aby Warburg
Survivance d'Aby Warburg
Sens et destin d'une iconologie critique
Deuxième Volet : Motifs wargburgiens
Bordeaux, les jeudi 19 et vendredi 20 mai 2011
CAPC – Musée d'art contemporain de Bordeaux – Auditorium
7, rue Ferrère, F-33000 Bordeaux, France

Le premier volet du colloque sur l’œuvre d’Aby Warburg qui s’est tenu à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris le 18 et 19 novembre 2010, colloque intitulé « à la lettre » et consacré à l’étude de sa genèse et de ses sources se prolonge aujourd’hui au CAPC.
Ce second volet ambitionne de mesurer l’extraordinaire valeur heuristique que recèle la démarche iconologique d’Aby Warburg. Quelle résonance l’œuvre possède-t-elle par-delà ses textes ? Quel est son devenir et, de façon plus pragmatique, comment utiliser ses intuitions ? De fait, la science des images instaurée par Warburg aboutit, et ce n’est pas son moindre résultat, à l’invention de nouveaux thèmes et objets. Il est loisible de se pencher sur ceux que Warburg a lui-même élaborés (la grisaille, la Ninfa), mais, en prolongeant sa pensée, on peut en proposer d’autres. Il s’agirait en l’occurrence de faire subir à Warburg le traitement même qu’il réservait aux images et de suggérer des déplacements, des hybridations, des transformations, des découpes et des montages. La pertinence de la méthode warburgienne au regard du cinéma mérite notamment d’être interrogée, mais on peut encore se pencher sur les perspectives interprétatives qu’elle ouvre dans le domaine de la photographie et même dans celui de l’informatique. Qu’en est-il, enfin, de ses usages en anthropologie ou dans l’étude des cultures non-occidentales ? Au-delà des clivages disciplinaires, c’est bien la portée d’une pensée de l’image et de l’histoire de la culture fort originale qu’il s’agira d’interroger.
Organisé par : L'université Michel-de-Montaigne Bordeaux 3.En collaboration avec l'Institut National d'Histoire de l'Art, Paris ; le CAPC, Bordeaux ; l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris; l'Institut Germanique d'Histoire de l'art, Paris ; le centre de recherches CLARE.Avec l'aide du Service culturel de l'université Michel-de-Montaigne Bordeaux 3.
Deuxième volet : Motifs Warburgiens
Jeudi 19 mai, 9h00 - 19h00
Mnemosyne et la pensée-atlas
• 9h45 Michael Diers : Album, Atlas and Archive. Warburg and the Arts
• 10h30 Georges Didi-Huberman : Mnémosyne ou le regard embrassant
• 11h30 Giovanni Careri : la pathosformel chrétienne : polarisation et re-polarisation des formules pathétiques antiques
• 12h15 Aurora Fernandez-Polanco : Mnémosyne à l’époque de la digitalisation globale
Histoire et historiens de l’art
• 14h15 Roland Recht : L’iconologie d’Aby Warburg. Enquête sur son origine
• 15h00 Michela Passini : L’Histoire de l’art comme histoire de civilisations : Eugène Müntz, un interlocuteur français d’Aby Warburg
• 15h45 Marie Tchernia-Blanchard : Résonances warburgiennes en France dans les années 1930 : La survivance de l’antique chez Jean Adhémar et Jean Seznec
• 16h45 Katia Mazzucco : Bild und Wort : a method for the Bildwissenschaft
Résonances anthropologiques
• 17h30 Carlo Severi : Agentivité et espace de pensée : à partir du concept de Denkraum
• 18h15 Claude Imbert : Aby Warburg: Transfert d'images , Atlas et exposition
Vendredi 20 mai
Les formules de pathos en devenir
• 9h15 Karine Winkelvoss : Poétique de la Pathosformel. Warburg et Sebald
• 10h00 Antonio Somaini : La notion de « formule du pathos » dans la pensée de S. M. Eisenstein
• 11h00 Sigrid Weigel : Regarder l’opéra avec Warburg
• 11h45 Andrea Pinotti : Warburg et le « manétisme »
Warburgiana : portrait, Ninfa
• 14h00 Denis Vidal : De Santa Trinita à Madame Tussaud à Londres. Art du portrait et figures de cire dans l’Angleterre victorienne
• 14h45 Xavier Vert : Survivance rituelle et prophétique dans un portrait charge du Bernin
• 16h15 Filippo Fimiani : Lieux communs cinétiques. De Nymphas, Nymphettes et Sylves
• 17h00 Bertrand Prévost : Direction-dimension : Ninfa et putti
http://www.capc-bordeaux.fr/programme/survivance-daby-warburg
The Warburg Institute, Londres :
http://warburg.sas.ac.uk/index.php?id=435
Biographie, Dictionary of Art Historians :
http://www.dictionaryofarthistorians.org/warburga.htm
Projet Warburg Electronic Library :
http://www.welib.de/
lundi 2 mai 2011
Victor Segalen et l'exotisme
Victor Segalen RENCONTRES EN POLYNESIE 22 avril - 6 novembre 2011 Abbaye
de Daoulas, Chemins du patrimoine en Finistère, 21 rue de l’Eglise,
F-29460 DaoulasL'édition originale de Stèles publié par Victor Segalen
en 1912 à Pékin.
Segalen, versant polynésien « DAOULAS – L’homme a laissé une trace
fugitive mais éclatante dans l’album des explorateurs-ethnographes. Médecin de
la marine, poète (Stèles), dessinateur, sinologue, archéologue
auteur de découvertes en Chine (monuments de la dynastie Han). Victor Segalen, Manuscrit du journal des îles, 1902-1904, BnF, département des
Manuscrits.
Victor Segalen (1878-1919) est malaisé à caser dans une catégorie, si ce n’est celle des fous de voyage. L’abbaye de Daoulas se penche sur cette figure originale en réunissant des témoignages de sa passion pour la Polynésie : masques et tikis en bois, proues de pirogue, bijoux et ornements, casse-tête des Marquises ou effigies religieuses, jusqu’à sa trousse de chirurgien. Plutôt que de grandes institutions internationales, les objets sont autant de petits bijoux exhumés de musées de province trop peu visités – du musée d’Art et d’Histoire de Langres au Château-musée de Boulogne-sur-Mer. » http://www.artaujourdhui.info/art-aujourdhui-hebdo-00476.html


samedi 30 avril 2011
Claude le Lorrain. Le dessinateur face à la nature
Claude le Lorrain. Le dessinateur face à la nature
Musée du Louvre
Expositions
du 21 avril au 18 juillet
« Claude Gellée, dit le Lorrain, (1600 ou 1604/1605 – 1682) fut reconnu de son vivant comme le plus grand peintre de paysage de son temps. Jusqu’au début de l'impressionnisme, et même au-delà, sa vision sereine et intensément poétique du paysage « classique » est devenue une référence.
Dans une longue carrière, vécue pour l’essentiel à Rome, le Lorrain perfectionna une vision d’un paysage idéalisé, où l’homme vit en harmonie avec une nature sereine et abondante ; vision teintée de nostalgie de l’Arcadie du mythe. Mais les paysages du Lorrain sont ancrés dans la réalité. S’ils s’inspirent de la campagne romaine, sa lumière dorée et ses vestiges antiques, son art trouve toutefois ses racines dans la confrérie des peintres nordiques présents à Rome entre 1615 et 1635. Cette génération est la première à sortir régulièrement de l’atelier pour aller dessiner dans la nature. Claude se distingue par l’assiduité avec laquelle il étudie le paysage dans toute sa diversité, par sa sensibilité à la lumière, par son talent à saisir sur papier ses effets passagers. Face à la nature, il fait preuve d’une extraordinaire réceptivité.
Cette exposition, qui rassemble les plus beaux dessins de l’artiste dans les collections du musée du Louvre et du musée Teyler de Haarlem avec un choix de peintures et gravures, veut examiner la place qui revient au dessin dans l’art du grand peintre qu’est le Lorrain.
Après un bref séjour à Nancy en 1625-1626, Claude ne quittera plus Rome. La ville papale, avec ses vestiges antiques et ses monuments modernes, est un sujet favori des artistes venant du Nord, mais le Lorrain ne s’intéresse pas vraiment à la représentation topographique ; dès le début, il préfère donner des interprétations atmosphériques des sites et du paysage.
Même s’ils se limitent essentiellement à un seul genre, le paysage, les dessins de la maturité du Lorrain frappent par la richesse des différentes techniques et points de vue adoptés, par la diversité des effets obtenus. Une nouvelle catégorie de dessin qu’il développe dans ces années est celle des « dessins aux effets picturaux », des paysages dessinés à grande échelle qui sont des œuvres d’art autonomes, sans lien direct avec la peinture. »

Claude Gellée, dit le Lorrain, vers 1655-1660, Paysage pastoral : tempête, plume, lavis brun, rehauts de blanc sur papier beige,
« Exécuté d’après nature à la pierre noire, avec juste quelques touches de lavis gris, ce dessin est l’un des plus grands parmi les nombreuses études d’arbres du Lorrain. Ce dessin est une nouvelle démonstration de l’attention portée par l’artiste à la mise en page de ses études d’après nature. Ces grands arbres sont un motif bien connu dès le milieu des années 1640. »
jeudi 28 avril 2011
Salon International de l'Estampe et du Dessin
au Grand Palais à Paris
Du 29 avril au 1er mai 2011
Organisé par la Chambre Syndicale de l'Estampe du Dessin et du Tableau
http://www.salondelestampeparis.fr/articles.php?artID=37

Hélène Moreau
Artitude
Art on Paper
les 29, 30 avril et 1er mai 2011
au White Hotel à Bruxelles.

Avenue Louise 212
1050 Bruxelles
http://www.artonpaper.be
Artitude
chaussee de Vleurgat, 221
1050 - Bruxelles
http://www.artitude.be
Le premier salon consacré au dessin contemporain à Bruxelles investit pour la deuxième fois le White Hotel durant quatre jours. Les visiteurs du salon pourront découvrir les œuvres sur papier sélectionnées par plus de 40 galeries belges et internationales.
mardi 26 avril 2011
Jacques Lennep ou… “l’art de rien”
La prochaine exposition du Musée des Beaux-Arts de Charleroi sera résolument humaine… ou ne sera pas !



site : http://www.lennep.be/
PEEK
Call for funding applications
The FWF Austrian Science Fund issued the third call of the Programme for Arts-based Research PEEK (Programm zur Entwicklung und Erschliessung der Künste). The goal of the programme is to support arts-based research via project funding.
Deadline for applications: 25 May 2011
Program for Arts-based Research (PEEK)
Initiatve of the Austrian Federal Ministry of Science and Research (BMWF)
Target group
Any person engaged in arts-based research who has the necessary qualifications
Goals
- Support high quality and innovative arts-based research in which artistic practice is integral to the inquiry.
- Increase research capacity, quality and international standing of arts-based researcher in Austria.
- Increase both public awareness and awareness within the academic and the arts communities of arts-based research and its potential applications.
Requirements
- Artistic/academic quality and standing
- sufficient free capacity
- required infrastructure (Connection to an appropriate university or non-university institution in Austria, so that the necessary documentation, support and quality of the results are ensured)
Length
to a maximum of 36 months
Level
variable
call open until 25 May 2011 (date of postmark)
Your application should be in English and provide a precise description of goals and methodology (max. 36 months)
Contact : Alexander Damianisch (alexander.damianisch [at] fwf.ac.at)http://www.fwf.ac.at/en/projects/peek.html
Info on projects funded in 2010: http://www.fwf.ac.at/de/public_relations/press/peek2010-abstracts.pdf