SIGNATA Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics
SIGNATA est une revue visant à réunir, organiser et mettre à l’épreuve les contributions qui animent les recherches sémiotiques aujourd’hui.
Le titre SIGNATA condense deux questions importantes se posant à propos du parcours de la discipline sémiotique : son origine en tant que science des signes et science de l’indicialité et de l’indexicalité, et son développement en tant qu’étude de l’acte de marquer et de tracer (le verbe latin signare signifie à la fois tracer et indiquer). SIGNATA se réfère donc simultanément aux objets tracés ainsi qu’aux pratiques d’inscription du sens.
La revue ne privilégie aucune théorie, aucune école ou aucun objet d’étude en particulier : son but est de nourrir la sémiotique comme projet disciplinaire. On envisage ainsi cette dernière comme discipline reposant sur des bases épistémologiques fortes ; on reconnaît en même temps que sa méthodologie s’est développée de manière plurielle, grâce à son dialogue constant avec des disciplines limitrophes telles que la linguistique, la rhétorique, la philosophie du langage, les sciences cognitives, l’esthétique, la sociologie, l’anthropologie, les sciences de l’information et de la communication.
La revue vise d’une part à recenser les questions actuellement discutées dans le domaine des sciences du langage et de l’autre à structurer des axes de recherche sémiotique internationalement reconnus. Sans se soucier des frontières géographiques, elle porte une attention toute particulière aux bibliographies récentes et aux débats de la dernière décennie sur le monde du sens et les procès de la signification. En même temps, elle propose d’articuler ces études autour d’un ensemble de concepts et de problématiques clé, que chaque numéro met en avant, de manière à profiler un projet disciplinaire global.
Outre son dossier thématique et sa rubrique « Varia », chaque numéro comportera une interview d’un spécialiste appartenant au monde sémiotique, qui interviendra sur les thématiques illustrées par le numéro et sur la manière dont elles y ont été développées.
L’originalité de la revue réside en somme dans son ambition de recouvrement et d’organisation de la recherche internationale. De ce point de vue elle se présente aussi comme une série d’annales.
Volume n° 1 (2010)
Cartographie de la sémiotique actuelle / Mapping Current Semiotics
Volume n° 2 (2011)
La sémiotique entre autres / Semiotics among others
Volume n° 3 (2012)
L’institutionnalisation de la sémiotique entre disciplines et professions / The Institution of Semiotics
SIGNATA, Secrétariat de rédaction
ULg, Service de Sciences du langage et Rhétorique
Place Cockerill, 3-5, bât. A2
4000 Liège
Belgique
signata.annales@gmail.com
http://www.pulg.ulg.ac.be/signata
mardi 20 mars 2012
Cygne noir, revue d’exploration sémiotique
Cygne noir, revue d’exploration sémiotique
APPEL À CONTRIBUTION
La toute nouvelle revue d’exploration sémiotique Cygne noir lance son premier appel à contribution. Liée au programme de doctorat en sémiologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), la revue a pour mission de fournir aux chercheuses et chercheurs développant une pratique sémiotique un espace de publication exploratoire et scientifique. Le premier numéro, qui doit paraître à l’hiver 2013, aura pour thème ce qui confère son nom à la revue, soit la théorie du « Cygne Noir » – imprévisibilité et sérendipité dans les processus sémiotiques fondant l’épistémè.
Suivant, dans l’essence, les recherches de Nassim Taleb sur les limites de la connaissance et le poids de l’imprévisibilité dans nos schémas épistémiques (Le cygne noir : la puissance de l’imprévisible, Paris, Les Belles Lettres, 2008), un Cygne Noir est une figure symbolique renvoyant à un événement hautement imprévisible qui survient et qui ébranle nos cadres normatifs. C’est une aberration qui fait rupture dans la cohérence de nos modèles encyclopédiques et qui force la reconsidération à la fois de nos connaissances établies et des modes d’acquisition et de validation de ces connaissances, voire certitudes – soudainement reconnues comme erronées. La nécessité de rendre cohérente cette donnée aberrante produit des explications qui retracent des effets de prévisibilité rétrospectifs. Symétriquement, un événement hautement prévisible qui ne survient pas peut également être appelé un Cygne Noir. Le Cygne Noir symbolise et traduit ainsi la stupeur d’une conscience prenant acte des limites de l’induction et de la probabilité.
Prenant appui sur cette théorie et s’en inspirant pour fonder la thématique de son numéro initiatique, la rédaction du Cygne noir invite chercheuses, chercheurs, auteur-e-s et artistes à lui soumettre des propositions s’inscrivant dans les grandes orientations théoriques qui convergent sous l’égide de la discipline sémiotique et rappelle aux intéressés l’esprit d’ouverture qui préside à la fondation de la revue, tant par rapport aux objets traités qu’à la forme que peuvent prendre les différentes contributions.
Le Cygne noir propose trois champs possibles où inscrire sa contribution :
1. « Jeux de concepts » comprend les écrits scientifiques ;
2. « Jeux de langages » met à l’épreuve la plasticité de la langue sous toutes ses formes (de la narration à la poésie, et au-delà) ;
3. « Jeux d’images » capture et exploite les images fixes et mobiles dans une perspective sémiotique (de la photographie à la vidéo, et au-delà).
Veuillez soumettre vos propositions au plus tard le 21 mars 2012 à l'adresse suivante :
redaction@revuecygnenoir.org
APPEL À CONTRIBUTION
La toute nouvelle revue d’exploration sémiotique Cygne noir lance son premier appel à contribution. Liée au programme de doctorat en sémiologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), la revue a pour mission de fournir aux chercheuses et chercheurs développant une pratique sémiotique un espace de publication exploratoire et scientifique. Le premier numéro, qui doit paraître à l’hiver 2013, aura pour thème ce qui confère son nom à la revue, soit la théorie du « Cygne Noir » – imprévisibilité et sérendipité dans les processus sémiotiques fondant l’épistémè.
Suivant, dans l’essence, les recherches de Nassim Taleb sur les limites de la connaissance et le poids de l’imprévisibilité dans nos schémas épistémiques (Le cygne noir : la puissance de l’imprévisible, Paris, Les Belles Lettres, 2008), un Cygne Noir est une figure symbolique renvoyant à un événement hautement imprévisible qui survient et qui ébranle nos cadres normatifs. C’est une aberration qui fait rupture dans la cohérence de nos modèles encyclopédiques et qui force la reconsidération à la fois de nos connaissances établies et des modes d’acquisition et de validation de ces connaissances, voire certitudes – soudainement reconnues comme erronées. La nécessité de rendre cohérente cette donnée aberrante produit des explications qui retracent des effets de prévisibilité rétrospectifs. Symétriquement, un événement hautement prévisible qui ne survient pas peut également être appelé un Cygne Noir. Le Cygne Noir symbolise et traduit ainsi la stupeur d’une conscience prenant acte des limites de l’induction et de la probabilité.
Prenant appui sur cette théorie et s’en inspirant pour fonder la thématique de son numéro initiatique, la rédaction du Cygne noir invite chercheuses, chercheurs, auteur-e-s et artistes à lui soumettre des propositions s’inscrivant dans les grandes orientations théoriques qui convergent sous l’égide de la discipline sémiotique et rappelle aux intéressés l’esprit d’ouverture qui préside à la fondation de la revue, tant par rapport aux objets traités qu’à la forme que peuvent prendre les différentes contributions.
Le Cygne noir propose trois champs possibles où inscrire sa contribution :
1. « Jeux de concepts » comprend les écrits scientifiques ;
2. « Jeux de langages » met à l’épreuve la plasticité de la langue sous toutes ses formes (de la narration à la poésie, et au-delà) ;
3. « Jeux d’images » capture et exploite les images fixes et mobiles dans une perspective sémiotique (de la photographie à la vidéo, et au-delà).
Veuillez soumettre vos propositions au plus tard le 21 mars 2012 à l'adresse suivante :
redaction@revuecygnenoir.org
Votre proposition doit comporter :
1. Un titre et un court résumé (500 mots maximum) ;
2. Une courte notice biographique (250 mots maximum) comportant les informations suivantes : votre nom complet, votre statut, votre établissement de rattachement (s’il y a lieu), votre département et vos coordonnées (adresse postale, numéro de téléphone et adresse courriel).
Calendrier :
Les propositions de contributions (titre et court résumé) seront envoyées avant le 21 mars 2012.
L’acceptation des contributions sera notifiée avant le 5 avril 2012.
Le texte final, prêt à la publication sera envoyé avant le 31 mai 2012.
Vous trouverez tous les détails nécessaires concernant le Cygne noir : revue d’exploration sémiotique à l’adresse suivante : http://revuecygnenoir.org
Image et philosophie : les usages conceptuels de l’image
Image et philosophie : les usages conceptuels de l’image
Colloque international
ULB-FUSL, 23-24 mars 2012
Vendredi 23 mars 2012
Université Libre de Bruxelles
Salle Henri Janne, Bâtiment S 15ème étage
Campus du Solbosch
Avenue Jeanne 44
1050 Bruxelles
9h : Introduction, Augustin Dumont et Aline Wiame
9h30 : Sophie Klimis, Décrire l’infigurable. Les mises en Forme de l’âme dans le «Phèdre» de Platon
10h50 : Augustin Dumont, Feinte, doute et jeu l’image. La duplicité de la représentation dans la métaphysique de Descartes
11h50 : Lorenzo Vinciguerra, Spinoza et l’image
14h : Nathanaël Masselot, La fonction transcendantale de l’image chez Kant
15h20 : Charles Théret, L’image dans la philosophie de l’identité de Schelling
16h20 : Laurent Van Eynde, Le jeu de l’image selon Eugen Fink : d’une phénoménologie à une ontologie,
Samedi 24 mars 2012
Facultés universitaires Saint-Louis
Local P61 (6ème étage)
43 Bd du Jardin Botanique
1000 Bruxelles
9h30 : Sabine Plaud, La carte, le plan et l’arbre généalogique : usages philosophiques de l’image dans la méthode du second Wittgenstein
10h50 : Ioulia Podoroga, Bergson et la question de l’immédiat. Du concept à l’image
11h50 : Andrea Cavazzini, L’image chez Bachelard
14h : Arnaud Tomès, Pouvoirs et limites de l’image chez Sartre
15h : Ludovic Duhem, Le fonds des images. Intuition philosophique et devenir des idées selon Simondon,
16h20 : Aline Wiame, Le pensable et le visuel selon Deleuze. De la critique de l’image de la pensée à la fabrique de l’image pure
Colloque international
ULB-FUSL, 23-24 mars 2012
Vendredi 23 mars 2012
Université Libre de Bruxelles
Salle Henri Janne, Bâtiment S 15ème étage
Campus du Solbosch
Avenue Jeanne 44
1050 Bruxelles
9h : Introduction, Augustin Dumont et Aline Wiame
9h30 : Sophie Klimis, Décrire l’infigurable. Les mises en Forme de l’âme dans le «Phèdre» de Platon
10h50 : Augustin Dumont, Feinte, doute et jeu l’image. La duplicité de la représentation dans la métaphysique de Descartes
11h50 : Lorenzo Vinciguerra, Spinoza et l’image
14h : Nathanaël Masselot, La fonction transcendantale de l’image chez Kant
15h20 : Charles Théret, L’image dans la philosophie de l’identité de Schelling
16h20 : Laurent Van Eynde, Le jeu de l’image selon Eugen Fink : d’une phénoménologie à une ontologie,
Samedi 24 mars 2012
Facultés universitaires Saint-Louis
Local P61 (6ème étage)
43 Bd du Jardin Botanique
1000 Bruxelles
9h30 : Sabine Plaud, La carte, le plan et l’arbre généalogique : usages philosophiques de l’image dans la méthode du second Wittgenstein
10h50 : Ioulia Podoroga, Bergson et la question de l’immédiat. Du concept à l’image
11h50 : Andrea Cavazzini, L’image chez Bachelard
14h : Arnaud Tomès, Pouvoirs et limites de l’image chez Sartre
15h : Ludovic Duhem, Le fonds des images. Intuition philosophique et devenir des idées selon Simondon,
16h20 : Aline Wiame, Le pensable et le visuel selon Deleuze. De la critique de l’image de la pensée à la fabrique de l’image pure
lundi 19 mars 2012
Ralph Dekoninck – Conférence
Ralph Dekoninck – Conférence
“A travers le miroir. L'expérience du seuil dans les arts visuels à l'âge baroque”
lundi 26 mars 2012 à 18 heures
Solvay Brussels School of Economics and Management
rez-de-chaussée – salle R42.2.113
42, avenue Roosevelt, 1050 Bruxelles
« Dans la peinture des temps modernes, la cadre s'offre comme l'une des modalités les plus fascinantes de réflexion méta-picturale comme l'a magistralement démontré Victor Stoichita dans L'Instauration du tableau. Je souhaiterais prolonger ce travail en envisageant l'expérience du seuil dans la peinture essentiellement religieuse à l'âge baroque. Il s'agira de montrer comment la peinture devient alors un espace de projection et d'introjection dans un constant va-et-vient entre image mentale, image physique et image surnaturelle. »
Conférence organisée conjointement par ECARES (ULB, tél. 02 650 38 46) et le Département d’Histoire de l’Art et d’Archéologie (ULB, tél. 02 650 24 19)
“A travers le miroir. L'expérience du seuil dans les arts visuels à l'âge baroque”
lundi 26 mars 2012 à 18 heures
Solvay Brussels School of Economics and Management
rez-de-chaussée – salle R42.2.113
42, avenue Roosevelt, 1050 Bruxelles
« Dans la peinture des temps modernes, la cadre s'offre comme l'une des modalités les plus fascinantes de réflexion méta-picturale comme l'a magistralement démontré Victor Stoichita dans L'Instauration du tableau. Je souhaiterais prolonger ce travail en envisageant l'expérience du seuil dans la peinture essentiellement religieuse à l'âge baroque. Il s'agira de montrer comment la peinture devient alors un espace de projection et d'introjection dans un constant va-et-vient entre image mentale, image physique et image surnaturelle. »
Conférence organisée conjointement par ECARES (ULB, tél. 02 650 38 46) et le Département d’Histoire de l’Art et d’Archéologie (ULB, tél. 02 650 24 19)
jeudi 15 mars 2012
Déplacer, déplier, découvrir
Déplacer, déplier, découvrir. La peinture en actes (1960-1999)
Martin Barré, Jean Degottex, Marc Devade, Simon Hantaï, Michel Parmentier
03 mars-27 mai 2012
LaM
1 allée du Musée
F - 59650 Villeneuve d’Ascq
Communiqué de presse
« Chaque artiste, au sein d'une salle spécifique, est représenté dans cette exposition par un moment particulier de son parcours où tous les acquis ont été volontairement remis en question afin de tenter de redéfinir l'idée de tableau sans renoncer à la peinture pour autant: Simon Hantaï à travers les Panses de 1964-65; Martin Barré avec les «bombes aérosol» de 1963-67; Marc Devade à travers les séries de peintures «H» de 1975-77; Jean Degottex avec les Lignes Report, les Lignes-Report-Noir, les Report-Noir et les Papier-Report de 1977-78; Michel Parmentier à travers les «toiles noires» de 1983-84 et les œuvres sur papier puis sur calque de 1987-99.
Le fait que la pratique de ces cinq artistes soit toujours demeurée attachée à l'idée de tableau souligne également l'indépendance de leur démarche dans un contexte où il était bien plus question de reconstruire le fait pictural hors du faire pictural. Que signifie, dès lors, cette fidélité presque continue à la toile ou à la feuille de papier? Quelle singularité développent ces notions d'abstraction(s) radicale(s) qu'ils expérimentent tour à tour? Et quels espaces, à travers des figures récurrentes de déplacement, semblent-ils déplier et ainsi (re)découvrir?
Car si tous considèrent la peinture ou le dessin comme le seul lieu d'émergence possible du geste de l'artiste, tous abordent, quoique chacun à sa manière, le tableau comme un territoire d'aventures et d'expérimentations libre et ouvert, où les notions de limites et de support sont sans cesse réinterrogées au point que l'au-delà de la surface et du cadre y joue un rôle paradoxalement central et fondateur.
“Déplacer, déplier, découvrir. La peinture en actes (1960-1999)” permet de prendre la mesure d'attitudes et de démarches encore trop sous-estimées au sein de la production artistique française de la seconde moitié du XXe siècle, et d'analyser ces voies nouvelles dans lesquelles chacun s'est tour à tour engagé. Et, sans pour autant remettre l'autobiographie au cœur de l'œuvre, elle pose la question ontologique de la prise de parole ou du retrait dans le silence au sein d'une démarche artistique, comme de l'existence d'un geste ultime ou de l'exigence d'un absolu à l'intérieur même du tableau. »
http://www.musee-lam.fr/
Martin Barré, Jean Degottex, Marc Devade, Simon Hantaï, Michel Parmentier
03 mars-27 mai 2012
LaM
1 allée du Musée
F - 59650 Villeneuve d’Ascq
Communiqué de presse
« Chaque artiste, au sein d'une salle spécifique, est représenté dans cette exposition par un moment particulier de son parcours où tous les acquis ont été volontairement remis en question afin de tenter de redéfinir l'idée de tableau sans renoncer à la peinture pour autant: Simon Hantaï à travers les Panses de 1964-65; Martin Barré avec les «bombes aérosol» de 1963-67; Marc Devade à travers les séries de peintures «H» de 1975-77; Jean Degottex avec les Lignes Report, les Lignes-Report-Noir, les Report-Noir et les Papier-Report de 1977-78; Michel Parmentier à travers les «toiles noires» de 1983-84 et les œuvres sur papier puis sur calque de 1987-99.
Le fait que la pratique de ces cinq artistes soit toujours demeurée attachée à l'idée de tableau souligne également l'indépendance de leur démarche dans un contexte où il était bien plus question de reconstruire le fait pictural hors du faire pictural. Que signifie, dès lors, cette fidélité presque continue à la toile ou à la feuille de papier? Quelle singularité développent ces notions d'abstraction(s) radicale(s) qu'ils expérimentent tour à tour? Et quels espaces, à travers des figures récurrentes de déplacement, semblent-ils déplier et ainsi (re)découvrir?
Car si tous considèrent la peinture ou le dessin comme le seul lieu d'émergence possible du geste de l'artiste, tous abordent, quoique chacun à sa manière, le tableau comme un territoire d'aventures et d'expérimentations libre et ouvert, où les notions de limites et de support sont sans cesse réinterrogées au point que l'au-delà de la surface et du cadre y joue un rôle paradoxalement central et fondateur.
“Déplacer, déplier, découvrir. La peinture en actes (1960-1999)” permet de prendre la mesure d'attitudes et de démarches encore trop sous-estimées au sein de la production artistique française de la seconde moitié du XXe siècle, et d'analyser ces voies nouvelles dans lesquelles chacun s'est tour à tour engagé. Et, sans pour autant remettre l'autobiographie au cœur de l'œuvre, elle pose la question ontologique de la prise de parole ou du retrait dans le silence au sein d'une démarche artistique, comme de l'existence d'un geste ultime ou de l'exigence d'un absolu à l'intérieur même du tableau. »
http://www.musee-lam.fr/
FID online
Foire Internationale du Dessin online
Pour sa 4e édition, la Foire Internationale du Dessin évolue et devient la première foire de dessin online, 100% web !
Autre nouveauté : la FID est ouverte aux étudiants des écoles d'art internationales (et non uniquement européennes) ainsi qu'aux post-diplômés.
• Étudiants : à partir de la 3e année d’études.
• Jeunes artistes : diplômés depuis maximum 3 ans.
Les candidats sont sélectionnés par un jury d'experts reconnus et les lauréats FID 2012 gagnent des expositions dans les galeries internationales partenaires.
Une seule façon de postuler : en ligne sur le site
http://onlinefid.com/
http://onlinefid.com/apply
Les candidatures sont ouvertes du 13 mars au 13 avril 2012.
Pour sa 4e édition, la Foire Internationale du Dessin évolue et devient la première foire de dessin online, 100% web !
Autre nouveauté : la FID est ouverte aux étudiants des écoles d'art internationales (et non uniquement européennes) ainsi qu'aux post-diplômés.
• Étudiants : à partir de la 3e année d’études.
• Jeunes artistes : diplômés depuis maximum 3 ans.
Les candidats sont sélectionnés par un jury d'experts reconnus et les lauréats FID 2012 gagnent des expositions dans les galeries internationales partenaires.
Une seule façon de postuler : en ligne sur le site
http://onlinefid.com/
http://onlinefid.com/apply
Les candidatures sont ouvertes du 13 mars au 13 avril 2012.
mercredi 14 mars 2012
Création de la revue-dessin
Une tentative de ce genre
Les Éts. Decoux sont heureux de vous annoncer la création de leur revue-dessin téléchargeable sur le site
http://www.ets-decoux.com/
« Notre revue-dessin est intitulée Une tentative de ce genre.
Elle aborde l’art du tracement à travers l’actualité et l’analyse d’images.
D’un côté, la revue met en scène une iconographie colorée pour fixer la diversité des desseins du monde. De l’autre côté, elle reproduit des notes exposées vite, en noir et blanc, sans ordre particulier sur le dessin. La seule vue de ces quatre pages fait de l’enseignement qu’elles constituent en elles-mêmes un plaisir.
Une tentative de ce genre est diffusée sous format PDF dès mars 2012.
La revue-dessin peut être librement imprimée.
Elle paraît deux fois par mois sauf en juillet-août. »
Actualité:
Notre dernier ouvrage est présenté dans le cadre de l'exposition "Présent!" jusqu'au 22 avril à la Centrale électrique, place Sainte-Catherine 44, 1000 Bruxelles.
Quelques éditions des Éts. Decoux seront présentées par "Art contemporain chaque jour" à "Artists Print" du 22 au 25 mars chez Komplot.
Vernissage : jeudi 22 03 2012 / 17:00 >> 20:00
Du vendredi 23 au dimanche 25 03 2012 de 14:00 à 19:00
Lieu : Komplot : 295 avenue Van Volxem, 1000 Bruxelles.
Les Éts. Decoux sont heureux de vous annoncer la création de leur revue-dessin téléchargeable sur le site
http://www.ets-decoux.com/
« Notre revue-dessin est intitulée Une tentative de ce genre.
Elle aborde l’art du tracement à travers l’actualité et l’analyse d’images.
D’un côté, la revue met en scène une iconographie colorée pour fixer la diversité des desseins du monde. De l’autre côté, elle reproduit des notes exposées vite, en noir et blanc, sans ordre particulier sur le dessin. La seule vue de ces quatre pages fait de l’enseignement qu’elles constituent en elles-mêmes un plaisir.
Une tentative de ce genre est diffusée sous format PDF dès mars 2012.
La revue-dessin peut être librement imprimée.
Elle paraît deux fois par mois sauf en juillet-août. »
Actualité:
Notre dernier ouvrage est présenté dans le cadre de l'exposition "Présent!" jusqu'au 22 avril à la Centrale électrique, place Sainte-Catherine 44, 1000 Bruxelles.
Quelques éditions des Éts. Decoux seront présentées par "Art contemporain chaque jour" à "Artists Print" du 22 au 25 mars chez Komplot.
Vernissage : jeudi 22 03 2012 / 17:00 >> 20:00
Du vendredi 23 au dimanche 25 03 2012 de 14:00 à 19:00
Lieu : Komplot : 295 avenue Van Volxem, 1000 Bruxelles.
mardi 13 mars 2012
Journées portes ouvertes
Retrouvez-nous dans l’atelier de dessin
les vendredi 16 (de 10 à 21 h.)
et samedi 17 mars 2012 (de 10 à 18 h.)
pour les journées portes ouvertes de l’Académie
144 rue du Midi
1000 Bruxelles
les vendredi 16 (de 10 à 21 h.)
et samedi 17 mars 2012 (de 10 à 18 h.)
pour les journées portes ouvertes de l’Académie
144 rue du Midi
1000 Bruxelles
Libellés :
enseignement recherche-teaching research
Benoît Félix, 1 ml de couleur
Benoît Félix invité de l’édition 2012
“Art et Science” : l’infiniment petit
dessins, vidéos, installations
Espace Athéna, Gembloux Agro-Bio Tech,
Passage des Déportés, 2
B-5030 Gembloux
ce mercredi 14 mars à partir de 17h30
du 12 au 25 mars 2012 de 12h00 à 13h00,
les mercredi, samedi, dimanche de 14h00 à 18h00.
L’exposition “Art et Science” à Gembloux s’intéresse à la matière, celle qui nous constitue et nous entoure afin de mieux la comprendre, l’exploiter et la percevoir. Elle nous emmène à la découverte de l’atome et des nanostructures au travers d’œuvres d’artistes, d’explications scientifiques et d’expériences didactiques.
Cet événement, résultat d’un partenariat entre Gembloux Agro-Bio Tech (Université de Liège), le Centre Culturel de Gembloux et l’Atelier Sorcier, s’inscrit dans les activités du Printemps des Sciences en Fédération Wallonie-Bruxelles.
http://www.gembloux.ulg.ac.be/institution/presse/communiques/cp20120309/
http://www.benoitfelix.com/
“Art et Science” : l’infiniment petit
dessins, vidéos, installations
Espace Athéna, Gembloux Agro-Bio Tech,
Passage des Déportés, 2
B-5030 Gembloux
ce mercredi 14 mars à partir de 17h30
du 12 au 25 mars 2012 de 12h00 à 13h00,
les mercredi, samedi, dimanche de 14h00 à 18h00.
L’exposition “Art et Science” à Gembloux s’intéresse à la matière, celle qui nous constitue et nous entoure afin de mieux la comprendre, l’exploiter et la percevoir. Elle nous emmène à la découverte de l’atome et des nanostructures au travers d’œuvres d’artistes, d’explications scientifiques et d’expériences didactiques.
Cet événement, résultat d’un partenariat entre Gembloux Agro-Bio Tech (Université de Liège), le Centre Culturel de Gembloux et l’Atelier Sorcier, s’inscrit dans les activités du Printemps des Sciences en Fédération Wallonie-Bruxelles.
http://www.gembloux.ulg.ac.be/institution/presse/communiques/cp20120309/
http://www.benoitfelix.com/
lundi 12 mars 2012
Transmission et création
Rencontre/débat
Transmission et création
Mercredi 14 Mars 2012 de 18h à 20h
à La Centrale électrique, Centre for contemporary art
Place Sainte-Catherine 44
1000 Bruxelles
dans le cadre de l’exposition Présent ! (300e anniversaire de l’Académie royale des Beaux- Arts de Bruxelles/Ecole supérieure des arts)
Trois écoles supérieures d’art se retrouvent pour discuter du thème qui traverse l’exposition PRESENT !
Intervenants :
– Corinne Diserens, directrice de l'Ecole de Recherches Graphiques (ERG, Ecole supérieure des arts)
– Caroline Mierop, directrice de l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts Visuels (ENSAV La Cambre)
– Marc Partouche, directeur de l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles/École supérieure des arts
Modérateur :
– Lucien Massaert, éditeur responsable des éditions “La Part de l’Œil”
Ruptures, strates, couches, mille feuilles, contribuent à façonner l’identité d’une école d’art qui est aujourd’hui le principal lieu de transmission d’un savoir artistique constitué d’une double caractéristique : passage d’une génération à l’autre (entre héritage et rupture), formation et transformation d’une communauté dont les lois commencent à s’éprouver là. Elle est aussi une institution dont la liberté de pensée et d’action, en tant que telle et pour chacun de ses membres, est unique dans l’enseignement supérieur et irremplaçable dans un contexte marchand très contraignant. En son sein s’expérimente, comme nulle part ailleurs, un « faire » nourri par des « savoirs » multiples ou, pour le dire autrement, une philosophie en acte…Si une école n’est que le point de rencontre des influences les plus fortes qui traversent la société tout entière, si elle n’est que le reflet de son temps s’exténuant à s’adapter aux pensées et aux techniques à la mode, alors elle faillit à ses fonctions. D’une certaine façon, une école doit, comme un artiste, avoir la volonté de connaître et de transformer le monde, en tout cas d’essayer de réfléchir à ce qui constitue l’art à un moment donné pour essayer de jeter quelques-unes des bases à partir desquelles se dessine le visage qu’il aura demain. Elle est donc active, et non seulement en activité.
La création et la transmission de l’art (son enseignement) sont indissociables. Les formes de l’art pénètrent en profondeur les processus de transmission, leurs objectifs, leurs méthodes et réciproquement.
INFO : www.lacentraleelectrique.be ou 02/279 64 36-35
Transmission et création
Mercredi 14 Mars 2012 de 18h à 20h
à La Centrale électrique, Centre for contemporary art
Place Sainte-Catherine 44
1000 Bruxelles
dans le cadre de l’exposition Présent ! (300e anniversaire de l’Académie royale des Beaux- Arts de Bruxelles/Ecole supérieure des arts)
Trois écoles supérieures d’art se retrouvent pour discuter du thème qui traverse l’exposition PRESENT !
Intervenants :
– Corinne Diserens, directrice de l'Ecole de Recherches Graphiques (ERG, Ecole supérieure des arts)
– Caroline Mierop, directrice de l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts Visuels (ENSAV La Cambre)
– Marc Partouche, directeur de l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles/École supérieure des arts
Modérateur :
– Lucien Massaert, éditeur responsable des éditions “La Part de l’Œil”
Ruptures, strates, couches, mille feuilles, contribuent à façonner l’identité d’une école d’art qui est aujourd’hui le principal lieu de transmission d’un savoir artistique constitué d’une double caractéristique : passage d’une génération à l’autre (entre héritage et rupture), formation et transformation d’une communauté dont les lois commencent à s’éprouver là. Elle est aussi une institution dont la liberté de pensée et d’action, en tant que telle et pour chacun de ses membres, est unique dans l’enseignement supérieur et irremplaçable dans un contexte marchand très contraignant. En son sein s’expérimente, comme nulle part ailleurs, un « faire » nourri par des « savoirs » multiples ou, pour le dire autrement, une philosophie en acte…Si une école n’est que le point de rencontre des influences les plus fortes qui traversent la société tout entière, si elle n’est que le reflet de son temps s’exténuant à s’adapter aux pensées et aux techniques à la mode, alors elle faillit à ses fonctions. D’une certaine façon, une école doit, comme un artiste, avoir la volonté de connaître et de transformer le monde, en tout cas d’essayer de réfléchir à ce qui constitue l’art à un moment donné pour essayer de jeter quelques-unes des bases à partir desquelles se dessine le visage qu’il aura demain. Elle est donc active, et non seulement en activité.
La création et la transmission de l’art (son enseignement) sont indissociables. Les formes de l’art pénètrent en profondeur les processus de transmission, leurs objectifs, leurs méthodes et réciproquement.
INFO : www.lacentraleelectrique.be ou 02/279 64 36-35
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